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  • 2850OsakaEn l'an 2550, arrive un phénomène cosmomagique. La collision de deux mondes, l'un que nous connaissions gangréné par la guerre, la pandémie et les crises économiques. L'autre, où la plus petite particule est imprégnée de magie et dont la vaste étendue de reliefs est habitée par des civilisations insoupçonnées. 300 ans, c'est le temps qu’il fallut pour que cette fusion aboutisse, le temps pour permettre à ces deux mondes de ne faire plus qu'un. À la découverte d'une planète comme une pièce et ses deux faces, que vous soyez un Humain utilisant les arcanes pour faciliter votre quotidien et atteindre vos ambitions, un Porteur de pouvoirs les exploitant pour vous et vos semblables, ou bien encore l’une des multiples Créatures usant de leurs particularités dans leurs quêtes personnelles, ce grand carrefour cosmopolite fantastique qu'est Osaka vous attends. Maintenant, c'est à votre plume de jouer.
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    Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Lun 14 Aoû - 14:26
    CiterÉditerSupprimerIP de l'auteur

    Tu me dois un Kimono. 


    Ainsi, d'un échange de SMS, voilà que la dryade avait rendez-vous maintenant avec son bon géant, après une drôle d'annonce. Enfin, Hyuuran n'en était pas non plus surprise. Que dire ? De la part d'Angel, c'était un peu attendu, drôle aussi, sa manière de réagir et de se comporter. Un amusement qu'elle appréciait, dans sa nouvelle vie et forme. Bien que l'idée de devoir un moment faire sortir l'œuf pour ne pas avoir l'enfant l'attrister tout de même. Tuer le début d'une vie... Malédiction d'être une Nymphe, et donc, d'être extrêmement fécondable.
    Elle l'aura appris à ses dépens, dans ses recherches. Posant un instant, le téléphone, un soupir prit notre jeune femme. Toutefois, elle voulait continuer à le voir, son adorable géant. Ça lui changeait les idées... Mais s'il reprenait ce genre d'action, au vu de la fertilité de ceux-ci aussi, c'était un cocktail explosif. Au vu de ses recherches, il va falloir trouver une méthode bien plus forte que la pilule pour empêcher une fécondation entre ces deux créatures, qu'ils sont.

    Voir un médecin est donc maintenant inévitable : mais pas un médecin de tous les jours, elle tentera de trouver quelqu'un qui pourrait... Agir sur ses ovaires, dira-t-on, le temps nécessaire ? Et ainsi, profiter pour se faire ausculter de son changement physique suite à son évolution mentale : vérifier que tout va bien, quand même. Car elle ne sait pas, comment l'intérieur est ! Il faut prendre soin de soi, non ?

    Reprenant le téléphone, elle donne un lieu dans le centre-ville où se retrouver avec Angel, préférant ne pas trop attirer les regards de ses voisins adorables, mais bien trop curieux à son goût actuellement. Déjà, quand il l'avait ramené, elle avait été assailli de mille questions, puis après elle a changé et c'était devenu encore pire ! De braves petits humains, des petits vieux qui s'intéressent à comprendre les créatures, mais qui ne peuvent pas s'empêcher de vouloir être présent et comprendre chaque action du quotidien de Hyuuran. Des pots de colle, des “attachiants”.
    Oh, la jeune femme les aime beaucoup, ils l'ont beaucoup aidé quand elle est venu s'installer ici il y a quelques années, et ont toujours offert un excellent soutien au vu de sa famille bien loin d'ici. C'étaient un peu ses grands-parents de cœurs... Mais parfois, oui, on n'a pas envie qu'il voit et se colle les oreilles au mur par leurs curiosités.

    Bah, elle n'était pas mieux au niveau curiosité, indirectement... À cette pensée, elle rit en se levant pour aller prendre une bonne douche, et se préparer.

    ----------



    La voilà toute pouponné, habillé d'une tenue pas trop chaude de type indienne mélangée avec un côté asiatique et oriental, aux couleurs printanières qui lui vont au teint, ses cheveux soigneusement détachés sans jamais toucher le sol, elle ajustait son petit haut, en se demandant si le fait d'avoir le ventre visible n'était pas un peu trop provocateur ?
    S'arrêtant un instant, la gueule vers son miroir, elle rougit en se rendant compte qu'elle se pouponnait bien trop, bien plus que d'habitude. Cherchait-elle à être plus séduisante, juste, car elle sortait voir Angel ? Mh, ceci la fit bafouiller un instant sans savoir quoi se répondre à elle-même. C'était une première, de chercher à savoir si elle était “correcte” ou “mignonne”. Normalement, elle s'en fichait royalement !
    Encore des sensations nouvelles, qui firent faire quelques fleurs sur ses cornes de bois, qu'elle se dépêcha d'enlever ne rouspétant poliment.

    Tenue de Hyuuran:

    Ce n'est qu'une tenue indienne légère, pour ne pas crever de chaud avec ce temps et ce soleil ! Et parce qu'elle est fière de ses origines mixtes ! Et il lui faut un autre Kimono, pour remplacer celui détruit ! Et un Kimono en centre-ville, c'est souvent contraignant, donc cette tenue là c'est utile et agréable !
    Voilà, utile, et agréable ! Ne pas se prendre la tête, petite Nymphe, tu es juste maladroite.

    Prenant lentement sa chevelure en soupirant d'amusement contre elle, la Kaarm se traita sympathiquement de petite enfant sur cet instant avant de récupérer son sac et son portable. Elle cliquetait, avec ses bijoux aux jambes et poignets.
    C'était normalement des tenues très utiles aussi, pour danser. Enfin, les vrai tenus de dances indiennes étaient encore plus lourdes et complexes, et la jeune femme les réservés pour des sorties plus “fringuante” que d'acheter un Kimono, ou quand elle faisait des réprésentations de ces danses avec sa magie de temps à autres.

    Peut-être devrait-elle montrer, ce spectacle à Angel ? Qui sait. Se regardant une dernière fois dans son miroir et tournoyant en chantonnant, elle était prête. Comme une pauvre adolescente. Hyuuran en rit, et prit la route.

    ----------


    La voilà bien en avance, malgré elle, posait sur un banc de rue à attendre l'arrivée de son bon géant, chantonnant légèrement tout en regardant le monde bougeait autour d'elle. Admirant le ciel, les gens, la rue, la vie, les animaux par-ci et là, laissant le peu de vent souffler dans sa longue chevelure et profiter de chaque bouffée d'air frais qu'il offrait. Mais pendant qu'elle patienter, quelqu'un prit place à ses côtés, rouvrant ses yeux bleus pétillants, elle fixa... L'inconnu. Que lui voulait-il ?
    Il l'interrogea sur la raison de sa venue, et vraiment, il était en mode drague très lourde. Hyuuran se leva, expliquer avec simplicité qu'elle attendait déjà son rendez-vous, pendant que l'abrutit ne semblait pas vouloir s'arrêter de s'arracher la tendresse de la Nymphe qui roulait des yeux d'un air indignés et écoeurer par les postillons d'alcools dans sa face qu'elle essuya en tentant d'instaurer une ligne de distance entre elle et ce type. Pas très à l'aise, soudainement, elle avait... Un fond de peur.
    Peur qu'il se jette à elle, peur de se faire planter. Il ne faut dire que malgré son désir de vivre, se faire accoster par un type qui a trop bu, et qui ne vous lâche pas la grappe, avec des mots vulgaires, lourds de contre-sens, et aucun tact... Peut vous replonger dans le trauma d'un soir où vous n'avez pas non plus su réagir, et qu'en vous défendant, vous avez manqué de peu le coche de la mort.

    Hyuuran le fit s'éloigner avec une vague d'illusion qui le surprit un peu, restant poli pour ne pas aggraver la frustration du gars qui commençait maintenant à l'insulter de chaudasse qui le chercher avec sa tenue et son odeur, elle avait qu'à ne pas se pouponner comme ça si elle ne voulait pas se faire draguer ou violer !
    La baffe vola, parce qu'elle ne supportait pas ce genre de propos, elle en perdit son Japonais, partit en Hindi assez sèchement. Mais le type, lui chopa le bras, et le leva plus haut en grognant contre elle, alors qu'un de ses potes tenter soudainement de calmer l'ardeur du bourré.

    C'était douloureux, et pas agréable. Ce n'était pas une prise, ni un contact recherché. Et Hyuuran était contre la violence normalement. Dans sa tête, elle espérait s'en sortir vite.

    Pour ta sécurité, lâche moi et va t-en vite. Angel n'appréciera pas... Pas de violence...
    “Angel blahblahblahblahblah, il va faire quoi, me mettre une petite gifle aussi ?”
    Probablement, et elle ne sera pas petite...
    “AHAHAHA, je n'ai pas peur de ton monsieur imaginaire !”

    Pourquoi certaines personnes, hommes ou femmes, devenaient complètement... Abjecte avec l'alcool ? Parfois même sans...
    Tête en l'air, et maladroite, mais douce et gentil. C'était un sacré bout, celle-là.
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Invité Mer 16 Aoû - 11:00
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    Un sourire idiot aux lèvres, je ferme l’application de message et jette mollement mon téléphone sur mon lit. Avant de me laisser échouer dedans. Oh, ma belle Hyu. Ma belle Hyu enceinte. Bien sûr, je savais que ça ne pouvait qu’arriver, mais voir le test que tu m’as envoyé gonfle mon égo. J’admets éprouver un plaisir sans nom à l’annonce de cette nouvelle. Bien sûr, tu feras ce que tu veux par la suite. Je suis gagnant dans tous les cas ! Cela dit, je ne peux que reconnaitre avoir beaucoup pensé à toi depuis notre rencontre. Bien sûr, des pensées cochonnes, mais pas seulement. Ce dernier point est suffisamment important pour le noter. Je n’ai pas seulement envie de te faire l’amour et te posséder, j’ai également envie de passer du temps avec toi. Tout simplement.

    Il faut d’ailleurs que je te trouve un nouveau kimono pour remplacer l’ancien. Je m’en veux de te l’avoir abimé, même s’il est toujours mieux d’abimer un vêtement que ta jolie frimousse. Une fois le kimono trouvé… je ne sais pas, pourquoi pas se balader ensemble dans la ville ? Je dois également croquer, mais avec mon art cette fois. Je rêvasse un peu. Je me demande comment ça va se passer. Est-ce que sans l’euphorie de la bestialité, nous allons passer un bon moment ensemble ou est-ce que notre différence d’âge va nous rattraper ? Je l’espère pas. Je reprends mon téléphone pour relire nos messages, mais l’heure me fait tirer de mon lit ! Hop, je bondis dans une secousse et file m’habiller. Je porte quoi ? Je vais quand même pas porter un t shirt avec des dessins dessus ? Ca va se voir que j’ai seulement 18 ans… J’attrape un débardeur blanc qui met particulièrement en valeur mes muscles, un short en jean bleu ciel et mes espadrilles crème. Mon fidèle sac à dos sur les épaules, je file.

    Une fois dehors, j’use de mon collier pour me réduire. Le changement de taille se fait plus lentement. Il faut vraiment que je trouve une sorcière pour recharger mon artéfact en flux avant que je ne puisse m’en servir ! Ce qui serait tout de même bien peu pratique ! Je vais me servir des réseaux sociaux pour lancer une bouteille à la mer. Bref. Je verrai ce soir. Pour le moment, je me dirige vers l’abri bus. Une petite quinzaine de minutes plus tard, j’arrive au point de rendez-vous en plein centre-ville. Je ne te vois pas tout de suite. Les mains dans les poches, je fais quelques pas sur le trottoir avant de t’apercevoir plus loin. Mon sang ne fait qu’un tour alors que je vois un mec te malmener. Malmener ma copine. Mon copine enceinte de moi ! Je viens vers la scène d’altercation en faisant un tour inverse des aiguilles de mon médaillon. Le sol tremble et je dois faire attention à mes pieds pour écraser personne.

    « Maintenant, tu vas lâcher ma meuf. » Voix forte, sourcils froncé. Il ne s’exécute pas tout de suite, mais je pense que c’est plus sous l’effet de la stupéfaction que par réelle volonté de chercher la merde. Le temps qu’il comprenne avoir bel et bien à faire à un géant. Il te repose. Je l’attrape. « Me dévore pas ! Pardon monsieur l’ogre ! » Il pue l’alcool. « T’en vaux même pas la peine. » Je tends alors le bras pour l’accrocher au réverbère en le coinçant avec son t shirt. « Le temps qu’on te fasse descende, t’auras le temps de décuver ! » lancé-je, furieux. Puis, je porte mon regard sur toi, ma pauvre petite Hyu. Mais... « T'es toute rose ! 'Fin, t'es toujours aussi belle ! Mais je m'y attendais pas ! » m'exclamé-je tout étonné. Je t'admire, oubliant que je dois prendre une taille plus adaptée. D’un tour d’index, je me réduits pour que tu m’arrives aux pecs. « Désolé si c’est plus lent que l’autre fois, faut que je recharge mon médaillon. Mais woh, ça te change ! » Quelques secondes plus tard, je peux enfin te serrer dans mes bras forts et protecteurs. « Viens là. » dis-je pour te rassurer. Je me penche pour t’embrasser avec passion. Je m’en fous d’être en pleine rue.

    Puis, je me recule un peu et pose mon bras sur tes épaules pour te serrer contre moi en marchant. « Bon. On va pas rester à admirer l’autre andouille. Il t’a pas fait mal au moins ? Tu veux qu’on aille porter plainte ? En plus, il a dit que j'étais un ogre ! Tu te rends compte ? Je suis bien plus mignon qu'un ogre ! » Bon, faudra que j’explique aux flics comment le gars s’est retrouvé accroché à un réverbère, mais ça devrait plus les faire rire qu’autre chose. Enfin, j’espère !
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Mer 16 Aoû - 13:19
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    Tu me dois un Kimono. 



    Alors qu'il était entrain d'agacer fortement notre Hyuuran qui se demandait si un coup de pied en plein dans le set trois pièce ne serait pas de trop car elle n'aimait vraiment pas la situation actuel, une présence bien plus "lourde" se sentit, avec un brun d'ombre sur la scène faisant clignant des yeux notre Nymphe quand elle remarqua le regard effrayé du gars.
    Ah, puis elle entendit Angel, de sa belle voix, venir la protéger. Elle ne put qu'éclater de rouge et de nouvelles fleurs au mot prononcés. "Ma meuf", avait-il dit ? Depuis quand ? Enfin, ils avaient fait bien d'étranges choses dans la forêt comme des gros cochons, mais... Était-ce vraiment du coup une conclusion ? Un couple ?! Eh, eeeeh ?!
    Alors que l'homme finit par pendouiller sur un réverbère en hauteur, créant des rires et de l'agitation autour, le doux géant revint en s'exclamant sur l'apparence de Hyuuran, avant de l'attraper, la câlinant et l'embrassant sans gêne.

    Collée contre lui, elle ne sut pas trop quoi faire, et par réflexe elle avait simplement rendu le baiser. Par envie, aussi sûrement.

    Lorsque l'emprise se libéra, elle chassa à nouveau les fleurs de ses cornes, soigneusement, reprenant son calme mentalement avant de regarder Angel avec un grand sourire. Et il commence à l'emmener.

    "On va perdre plus de temps à porter plainte, il n'en vaut pas la peine, et je veux passer le plus de temps avec toi avant tout, ahah." Ajouta t-elle. "Mais tu es bien plus séduisant qu'un ogre, ca ne colle pas du tout !" Ria t-elle, soulagée.

    Le calme revint en étant contre lui, et après avoir chassé le fait de se questionner en se disant qu'elle le fera "plus tard". Puis ses yeux bleus printaniers vinrent se plonger dans ceux d'Angel, toute sourire.

    "Il semblerait que le fait de vouloir vivre m'a fait changer. Un peu comme un arbre passe de l'hiver à une autre saison. Ce serait le même principe, m'a expliqué ma mère. Et que je ne devais pas trop m'inquiéter, car à part mon apparence pure, ça ne change rien de qui je suis." Sourit-elle tendrement.

    Angel pourra facilement comprendre, après avoir subit un coup de poignard et l'histoire qu'elle avait raconté, peut-être aussi le fait de s'accoupler avec lui... Non, pour de vrai, vivre et avoir découvert ce genre de plaisir interdit, mais spécial, en plus de changer de vision du monde : tout a joué dans son changement. Disons qu'Angel, c'est ce qui a finit de "remplir" le verre. Dira t-on, et en tentant d'être le moins vulgaire possible après un si bon moment, n'est-ce pas ?
    Qu'importe, c'était une partie réalité qui pourrait amuser le géant : car cela signifie que le petit bonbon-là, et juste très heureuse. Tout simplement !

    La jeune femme sembla le guider à travers les rues, le menant vers un de ces magasins où elle se fournissait. Il faut dire que la Dryade avait ses préférences, c'était certains : mais surtout, il fallait des personnes capables d'allier le style indien et asiatique pour correspondre à ce qu'elle aime, et avait perdu lors d'une drôle rencontre des plus improbables !

    Un temps, pendant qu'ils marchaient, la Nymphe ne cessait de s'étonner de la taille grande, pourtant réduite, du géant, et de sourire d'amusement en se sentant si petite, mais tellement bien protégée et confortable contre lui, au point de le câliner à un moment avant de s'excuser de son réflexe !
    Puis découvrant la devanture du magasin, elle le lâche pour y entrer en première, et saluer le gérant très amicalement. C'est une habituée.

    "Ah, fais attention à ta tête Angel !" Précisa t-elle. "Ce n'est pas très haut le plafond,  par rapport à toi,  je pense que tu peux te cogner ?"

    Le gérant, un homme plutôt grand, mais extrêmement fin et très efféminés, regarder alors vers la direction d'Angel, avec des yeux brillants d'émerveillement, tapotant dans ses mains à de multiples reprises d'une sorte d'excitation créatives.

    "Mademoiselle Kaarm ! Quel charmant morceau ! Ah, vous pensez que je pourrais lui faire une tenue ! C'est un rêve de tailler pour les grands hommes, vous savez !" S'excita l'homme, faisant rire Hyuuran.
    "Si tu sais faire des vêtements qui grandissent avec sa vrai taille ?"
    "Pourquoi ? Comment ça ?"
    "Il est réduit, pour le moment, mais c'est un sublime géant !" Expliqua t-elle, fière.

    L'homme tourna étrangement sur lui-même, complètement affolé de cette nouvelle, mais dans le sens positif. Son désir créatif le prenait avec un élan immense. Un géant ! UN GEANT ! Mon dieu !
    La jeune femme le regardait faire sa scène, semblant habituée à l'énergumène, avant de regarder Angel, expliquant que ce Monsieur était un ancien élève dans l'école, côté mode. Et qu'il avait toujours aidé à faire ses vêtements ici, quand sa mère à elle ne pouvait rien lui envoyer d'Inde. Il était doué et passionné, mais quelque peu étranges à sa manière. Un plaisantin. Puis dans un murmure, elle lui confia qu'il était complètement gay, et qu'Angel devrait faire attention à son fessier. Sait-on jamais. Un petit rire la prit, bien que le géant écraserai probablement le gérant sans aucun souci !

    "Je suis venu pour me refaire un Kimono sinon, Kyo." Finit-elle par interrompre. "Monsieur le Géant me l'a abîmé par accident."
    "AH !" Il s'arrête. "Lequel des petits bébés à souffert ma poupette ?"

    Hyuuran s'avance pour lui montrer la photo du modèle en question, alors qu'il tentait de la questionner comment c'était arrivé, et qu'elle rougissait en refusant de répondre, cherchant la fuite d'une certaine manière. Il était très curieux, tactile pendant qu'il reprenait les mesures de la Nymphe, précisant qu'elle avait pris des hanches dis-donc ! Elle toussa fortement.
    Il ajouta que malgré son changement physique pur et dur, elle avait pris des cuisses, des hanches et de la poitrine. Révélation que se serait bien passée notre Nymphe qui ne sut maintenant plus comment réagir ou le prendre. L'homme tenta de rassurer que ce n'était pas vulgaire ni rien, ni gros ni rien ! Juste, même, c'était mieux, plus formé !

    Comment expliquer à ce type que y avaient les hormones qui bossait en ce moment, en plus d'avoir été démonté par le géant qu'elle a ramené ?! Ses yeux se tournèrent sur Angel. Elle n'aurait pas cru avoir... Autant était... Enfin... Réclamant juste à savoir le prix, elle voulait se cacher profondément soudainement.

    "Gratuit, si je peux mesurer le géant et lui faire une tenue !" S'exprima Kyo. "Car ce serait accomplir un rêve ! Ca me semble être un bon échange ?" Grand sourire malicieux et profiteur en matant les pecs du géant sans gêne. "Je ne mords pas, PROOOMIS, sauf si on me demande, bien sûr !"

    Hyuuran ce foutu un baffe sur le visage, commençant à se demander... Était-ce le bon choix de boutique bordel ? Notre Kaarm commencé à regretter amèrement son choix, et peur qu'Angel ne s'enfuit à cause de cela, et la délaisse à cause de ce passionné un peu foufou qui frivole facilement.
    En même temps... Elle ne savait pas quoi en penser, de voir Angel se fait chaparder et draguer comme ça, mais ça, elle vint le mettre de côté aussi, notre Dryade gérer déjà le fait de ses douces révélations physiques, et de gêne purs !

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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Invité Ven 18 Aoû - 8:36
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    Tu me confirmes que je suis bien plus séduisant qu’un ogre. « On est d’accord ! » lancé-je dans un grand sourire niais. Un ogre quoi ! « Même si comme les ogres, je suis tout le temps affamé ! » ajouté-je dans un clin d’œil coquin à ton égard. En tout cas, tu as la flemme d’aller au poste de police. Plus de temps rien que pour nous deux ! Ça me va totalement ! Je te laisse alors me guider dans la ville. Ce qui m’arrange assez bien : j’admets ne pas savoir où aller pour chercher un kimono. J’aurais pu faire des recherches au préalable, mais je me suis simplement dit que ce ne serait pas compliqué à trouver au Japon ! Pendant le trajet, tu m’expliques que les transformations physiques peuvent arriver avec les dryades. « Oh. Je savais pas que vous aviez cette capacité ! » dis-je. « Tant que tu es heureuse ! Et puis, tu es toujours aussi jolie ! » conclus-je donc dans un sourire. Après un bon gros câlin – durant lequel j’en profite pour te claquer affectueusement le derrière, nous finissons par arriver devant la boutique.

    Tu me préviens pour la taille de la porte et en effet, je me penche pour entrer dans la toute petite – mais non moins chaleureuse – boutique d’un couturier très… haut en couleur ! On va dire ça comme ça. « Bonjour. » lancé-je pour le saluer poliment. Pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’il semble fortement intéressée par moi ! Plus exactement pour me faire une tenue, mais tu le préviens rapidement qu’il lui faudrait redoubler d’ingéniosité pour le problème de taille. En réalité, le médaillon s’en chargerait, mais je ne relève pas sur le coup. Bien trop surprise par le bonhomme. Pendant qu’il fait son manège, tu m’expliques un peu qui il est. Notamment ses préférences… Je pouffe un peu, amusé. « C’est lui qui devrais faire attention ! » te soufflé-je à l’oreille. Bref !

    Tu finis par expliquer ce pourquoi nous sommes là : à savoir refaire un nouveau kimono comme j’ai déchiré le tien. Je vois bien qu’il veut savoir le pourquoi du comment, mais tu ne veux rien lui dire. Quand il me jette un regard pour savoir si je serai plus enclin à répondre, je me contente de lui faire un wink wink. A priori, ça veut tout dire ! Il finit par prendre tes mesures, précisant même que tu as pris des hanches, des cuisses et des boobs. Pour les hanches… je suppose que je n’y suis pas étranger à cette affaire ! Mais le reste ? Je me doute qu’être enceinte d’un géant doit entrainer bien des changements pour des races plus petites, mais tu l’es depuis peu ! Après, peut-être est-ce suffisant. Je ne sais pas trop ce qu’il peut bien se passer dans le corps d’une nymphe dans ce cas de figure. « Peut-être tu vas continuer à prendre en taille ! » lancé-je même en rigolant. En tout cas, ça me gênerait pas !

    Quand vient la douloureuse question du prix – ce que je redoutais dans la boutique d’un couturier, le bonhomme me sort qu’il me fait gratuit en échange de prendre mes mensurations. Je dois admettre être plutôt surpris. « Eh bien, je ne suis pas habitué à porter des kimonos, mais pourquoi pas ! » lancé-je dans un sourire alors qu’il me fait une blague. Je ne manque pas de surenchérir. « Je ne m’inquiète pas : c’est moi qui mords ! » J’affiche un grand sourire, amusé de ma propre connerie. Comme je vois bien qu’il se demande comment me prendre les mesures, je me lance dans quelques explications : « Vous pouvez prendre les mesures sous cette taille. Mon médaillon adapte tout ce que je porte ! Pour ça que je vais devoir garder sur moi mon sac, sinon… pouf ! Il reviendra à sa taille normal et ça va être le bordel dans votre jolie petite boutique ! »

    Pour lui faciliter toutefois le travail, je prends mon sac à la main. Ainsi, il reste à une taille réduite sans gêner l’homme quand il voudra prendre les mesures du dos. « Sinon, en vrai, je fais plus de 7m. 7m13 pour être précis ! » Le bonhomme fait une pause et me lançant des yeux ébahis. « M’enfin, j’ai que 18 ans, j’ai pas fini ma croissance ! » Petit sourire. Je me détourne vers toi, ma jolie nymphe, pour te faire un clin d’œil. L’air de te dire : t’es pas prête pour ce qui t’attend si on continue de se fréquenter sur le long terme.

    « Ça va ? » lancé-je au couturier pour m’assurer qu’il s’en sort à me prendre sous toutes les coutures. Il finit par me demander les couleurs que j’aime et d’où je viens pour s’inspirer. « J’aime le bleu et le jaune. Je viens d’Acapulco au Mexique. J’habite près de la mer. » répondis-je donc en espérant que ça l’inspirera. J’admets être curieux de ce qu’il va bien pouvoir me faire ! Je lui donne ensuite mon numéro quand il me le demande pour me prévenir de quand la tenue sera prête. « Eh bien, merci ! » Je te laisse discuter un peu avec lui si tu en l’envie. Me demandant où nous pourrions aller ensuite.
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Lun 21 Aoû - 5:44
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    Tu me dois un Kimono. 



    Alors que notre Hyuuran tente tant bien que mal de ne pas se plonger dans trop de réflexion suite à ses différentes augmentations, ne sachant pas trop si cela est vraiment et purement dû au géant et ce qu'il y a dans son corps. Ou si peut-être, le fait d'avoir mangé plus qu'avant n'avait pas aidé aussi, à la faire prendre ?
    Mais il rajoutait une cache, arrachant un rire étouffé de la Dryade, car elle manque de s'étrangler au passage en rougissant fortement, mettant une petite claque dans le dos du géant avec des yeux brillants de gênes et d'une timidité malgré tout. Surtout face à ce Kyo, qui s'amusait de les voir ainsi. Vraiment.

    Ensuite, voilà que les deux hommes échanges plus sérieusement. Le Couturier est aux anges, en plus de draguer ouvertement le géant sous le regard de la prude, tout en rigolant à la blague de celui-ci et le fait qu'il lui rendre son rentre-dedans. C'était amusant.
    Toutefois, le gérant s'appliquait avec grand soins à bien prendre les mesures et notait toutes les informations fournies par Angel. Il était très professionnel malgré son caractère un peu hors norme. Mais c'était ce qui faisait son charme, non ?

    Le Kimono, ce n'est pas ma passion sur moi-même. Ca me va pas, mais j'avoue que quand on veut se sentir léger, c'est super agréable en plein été ! Surtout pas besoin de mettre de caleçon. Ria t-il.

    Hyuuran pendant leurs échanges, tenta d'imaginer le géant dans un Kimono, alors qu'une pensée plus étrange vint : Arriva t-il, son rien, a cacher la chose qui pendouille entre ses jambes ? Il faut dire qu'avec sa taille... Elle s'arrête en secouant vivement sa tête et s'attrapant les joues qu'elle malaxe. Hyuuran, maudite sois-tu ! Pensa t-elle si fort.

    Ne vous en faites pas Madame Kaarm, j'vais pas vous le piquer votre géant ! Surtout pas en plein travail !Dit-il en tirant la langue à notre Nymphe. Après s'il veut de moi, il aura mes coordonnées !
    B-Bah voyons ! Qu-qu'est ce que tu dis encore comme bêtise Kyo !!
    Bah rien, j'souligne des faits !
    "Mais quels faits au juste ?
    A vous de me le dire !

    Hyuuran reste planté en mode béat, vraiment crédule, faisant plutôt son charme. Avouer son attirance, c'était une chose, dire qu'elle n'aimait pas trop de ses propres yeux le rentre-dedans la déranger, serait une autre, surtout que rien n'était... Officiel, et il était un jeune homme libre qui explore sa vie : il fait ce qu'il veut bon sang ! Ce sentiment ne devrait même pas être là !
    Qu'importe, c'est Kyo qui l'embête, alors elle fait la moue, tourne le dos et attends sans regarder.

    Kyo finit de prendre les notes et la mesure du géant, qui fut bien participatif. Il le remercia en secouant aussi vivement qu'il pouvait l'immense paluche, le remerciant de pouvoir remplir un de ses rêves, et qu'il avait très grande hâte de le rappeler pour les résultats, de même quand il aura fini pour Hyuuran, puis plus bas, l'ancien élève avoua une chose au géant en rigolant un peu.

    Je ne me souvenais pas de Madame Kaarm aussi mignonne. Je ne l'ai connu qu'en professeur compréhensif, ce petit côté trop tendre, j'avoue que ça donne envie de croquer dedans ! Profite bien, le Mexicain, j'suis presque jaloux !Il tira la langue.

    Il renvoya le géant à Hyuuran avant de les foutre plus ou moins dehors, prétextant que s'il reste, il va piquer le géant et l'emmener au pieu dans une vanne, mais qu'il ne voulait pas la mort sur la conscience de son ancienne professeur et mentor, et jouant la comédie, il referma la porte en riant.
    Quel énergumène.

    La Dryade respira un instant, frottant sa nuque, s'excusant de Kyo, au caractère incompréhensible, mais très sociale. Elle espérait qu'au moins, il aimerait le cadeau que cette étrangeté d'homme lui fera, et elle sourit. Puis venant prendre sa paluche, confiant qu'elle a envie d'un thé, elle l'emmène vers un endroit.
    Vu qu'elle connaît mieux Osaka : elle avait repéré un endroit chouette, et elle voulait le montrer à l'étudiant en art, car elle se disait que ça pouvait lui plaire.

    C'était un petit salon de thé/café, dans une sorte d'immeuble, sur un étage un peu plus vieux que le reste, et moins fréquenté. Hyuuran ne se fit pas prier, et demanda simplement son petit coin, et elle se retrouva sur la terrasse, devant la vision du centre-ville en hauteur.
    Une vision qui offrait ce fameux centre-ville avec toute la vie qui frétillaient dedans, mais aussi la ville et tous les quartiers en arrière-plans s'étalant dans une fresque de mille formes et couleurs, avec au fond, un ciel, et quelques dépassements de verdures, et dans le ciel, on devinait l'ombre de ce que devait être les îles flottantes.

    Prenant place, Hyuuran commanda son thé et laissa Angel profitait en choisissant ce qu'il voulait.

    J'ai envie d'apprendre à mieux te connaître, mais je veux aussi que tu découvres le plus de petits trucs cachés et beau possible, car ... Je ne sais pas, je me dis que ça peut te plaire. Désolée, je suis maladroite, je ne fais pas trop ça d'habitude.Avoua t-elle, très embarrassée

    Sortant une petite feuille, elle la glissa au gentil géant. Il y avait diverses idées et d'endroits gribouillés dessus, barrer, ou réécrits, ainsi de suite. C'était avouer silencieusement qu'elle semblait vraiment réfléchir comment remplir la curiosité du Mexicain, tout en apprenant à se connaître de cette après-midi imprévu mais merveilleuse.
    C'était gênant, on voyait qu'elle ne s'y connaissait pas du temps en “rendez-vous”. Et du coup elle se posait bien trop de questions, comme souvent.

    Il y avait des musées, des parcs, un planétarium... C'était difficile de trouver, quand on ne sait pas trop.

    Ah, et toi aussi, tu as le droit de poser des questions ou proposer des choses, bien entendu !

    Rajouta t-elle, en jouant avec une mèche de cheveux pendant que son thé refroidissait.

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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Invité Sam 26 Aoû - 10:20
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    Je me demande bien ce qui est le plus drôle dans toute cette scène : le tailleur loufoque et dragueur ou toi qui ne sait plus où te mettre. Certainement un peu des deux ! Loin d’être intimité par le personnage, je manque pas de pouffer de rire à ses bêtises. Non, je ne suis clairement pas intéressé – même s’il peut m’arriver d’avoir des aventures avec des hommes, mais il faut admettre qu’il sait mettre l’ambiance. Il me confie même t’avoir eu comme prof. Quand il me dit de profiter de notre relation, je lui adresse un wink wink. « Oh, je vous ai pas attendu pour en profiter ! » Confirmant alors sans le cacher que nous avons déjà couché ensemble.

    Nous finissons par sortit quand il nous fout à la porte, toujours avec humour. Je te jette un regard amusé. « Drôle de bonhomme ! » conclus-je amusé par cette petite rencontre. « En tout cas, je suis curieux de voir nos futurs kimonos. On pourra aller les chercher ensemble ! » Hop, je glisse discrètement une nouvelle raison de se revoir plus tard. Non pas que nous ayons besoin d’excuses pour se voir ! « Alors, c’est quoi le programme ? » lancé-je ensuite, me demandant ce que tu as envie de faire. Tu nous emmènes alors dans un salon de thé, me prenant même pas la main ! Je t’offre un sourire.

    « C’est sympa par ici ! » dis-je en regardant la boutique après avoir salué la serveuse. Tu sembles êtres une habituée : tu souhaites ta place habituelle. Quelques pas plus tard – en faisant attention à ne rien culbuter par ma taille, nous voilons donc à une table en terrasse. Je laisse alors mon regard flâner tout autour. Nous avons une vue agréable sur le quartier. Ne m’y connaissant pas trop en matière de thé, j’en demande un aux épices. Ainsi qu’une pâtisserie au chocolat. Puis, je reporte mon attention sur toi. La seule digne de mon attention, après tout. « Mais t’excuses pas ! Et puis, moi aussi j’ai envie d’apprendre à te connaitre ! Ne t’en fais pas, ça va se faire naturellement ! »

    Je reconnais ne jamais me prendre la tête avec mes relations. Une femme me plait, je passe du bon temps avec sans trop me poser un florilège de questions. Je me sens bien avec toi. Si bien que j’ai envie de te voir pour autre chose que te faire couiner. C’est tout de même bon signe ! La serveuse revient avec notre commande quand tu me passes un papier. Je remercie la serveuse avant de porter attention à ce que tu m’as écrit. Je découvre alors une liste de différentes idées de lieux à faire. « Quand je te demandais quel était le programme, c’était pour rire ! Je m’attendais pas à une liste ! » lancé-je en souriant. « Relaxe, ça va bien se passer ! » Après tout… je t’ai mis enceinte dès notre première rencontre ! Que veux-tu qu’il t’arrive de plus abracadabrantesque ? Je me penche vers toi, passe une main dans tes cheveux et t’embrasse tendrement. Puis, m’éloigner un peu, je te gratifie d’un clin d’œil complice.

    « Tu sais, tant que je suis avec toi ! Peu importe ce où on va ! » Sourire. J’attrape la hanse de ma tasse et le porte à mes lèvres. Les épices sont légères, mais le thé est tout de même bon. « Sympa ! » Je repose la tasse. « Tu viens souvent ici ? » demandé-je par curiosité. Du bout de mon pieds, je m’amuse à te tapoter le tien dans un sourire polisson. J’attrape ensuite le gâteau pour en croquer un peu. Réfléchissant à ce que je pourrais te poser comme question pour apprendre à te connaitre un peu plus. « Hum… Team salée ou sucrée ? » Si ça, c’est pas la question la plus importante de l’univers !
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Dim 27 Aoû - 11:37
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    Tu me dois un Kimono. 



    Hyuuran aura effectivement émis un grand accord à l'idée d'aller chercher les Kimonos ensemble. La jeune Dryade appréciait beaucoup sa compagnie. Il était léger, un vent frais dans un monde compliqué, et très adorable. Pas besoin que de partie en l'air : surtout qu'elle voulait justement mieux le comprendre maintenant.
    Il faut dire qu'il l'avait mis en cloque, qu'elle avait acceptée cela de plein gré car... bah, elle l'aimait vraiment bien. Mais bien plus que simplement pour “un coup”, si cela est compréhensible pour vous. Bien qu'ils est débutés dans le “désordre” les connaissances, cela ne semble pas déplaire à la Kaarm, décidait de faire le tour des autres sujets tout de même avec un plaisir non dissimulé d'être simplement en sa présence.

    Quand il lui frotta le pied, elle lui rendu sans aucune crainte, et avec malice aussi. Elle restait qui elle était en reprenant un peu honteusement sa liste, mais riant malgré tout de sa propre bêtise à elle de l'avoir fait en premier lieu.

    Tu as bien raison ! Disons que je n'avais jamais vraiment eu de relations, ne serait-ce qu'amical, pendant trop longtemps, alors... C'est un peu terrain neuf, ici. Avoua t-elle en buvant son thé.

    Oh, qu'elle adorait humer le parfait délicieux de ce liquide chaud, mais apaisant, qui lui rappelait des lieux inédits qu'elle avait pu visiter, ici et là. Parfois, aux terres lointaines de son Inde natale. Le géant rassurait notre Dryade, en rappelant qu'avec elle, qu'importe où ils allaient, créant des fleurs sur ses cornes et le rouge sur ses joues, avec un sublime sourire.
    Il est vrai, que parfois, il n'y a aucun besoin de se casser autant la tête. On n'est pas en train de passer un concours, petite Hyuuran. Juste de papoter, entre personnes vivantes. C'est différent des livres, et des apprentissages. Elle apprend à sortir de son côté rat de bibliothèques... Et c'est un vrai régal sans fin ! Le baiser la fit rouge un peu plus, mais semblait l'émouvoir positivement, pendant qu'elle souriait un peu bêtement malgré elle, appréciait clairement le toucher de leurs lèvres à chaque fois.

    Ensuite, d'autres questions, qui la fit sourire en comprenant que l'intérêt à vouloir se connaître semblait mutuel, ce qui semblait ravir notre Nymphe grandement !

    Eheh, oui, je viens me perdre sur cette place quand je dois écrire mes cours. La vision est agréable, le vent aussi. En soirée, le ciel est juste splendide ! Et je peux l'admirer à ma guise, et dans le calme.C'était sa passion.Et... je dirais que je suis une bouche sucrée malgré tout. Mon péché mignon, c'est le chocolat concentré fourré à la framboise.

    Elle jouait avec une de ses mèches de cheveux. Le chocolat, c'était quand elle déprimait un peu. C'était cliché, ce qu'elle avouait elle-même, mais le côté framboise c'était surtout pour lui rappeler la confiture maison de sa tendre maman. D'ailleurs, c'était du chocolat importé directement d'Inde qu'elle avait tendance à manger.
    À cela, elle eut une nouvelle idée, sortant son téléphone, elle fouilla un instant dedans, profitant pour argumenter un peu plus.

    Je suis fille d'un Hindi et d'une Japonaise. Je maîtrise donc les deux langues, en plus de l'Anglais que j'ai appris. J'avouerais que si je pouvais apprendre l'espagnol, et sa culture Mexicaine aussi, je serais ravis !Dit-il dans un clin d'oeil. "Maîtrise des langues !" Puis elle tira la sienne, un poil provocatrice.

    Grand sourire avant de glisser doucement le téléphone aux yeux du géant. Des paysages bien différents d'ici. D'Inde et du village natal de Hyuuran. Celle-ci lui montre et explique quelques notions de cet endroit : la religion, les manières, le respect. Bien des choses que son père n'avait pas forcément suivies, sinon elle aurait eût un mariage forcé là-bas : au contraire.
    Montrant sa mère, Nymphe d'eau, et son père, elle révéla que sans eux, elle ne serait pas ici, car ils avaient simplement refusé de se plier aux traditions indiennes. Ils prirent le bon, pas le pire. Et en cela, elle était très reconnaissante. Et les paysages étaient toujours surprenants, surtout de voir une Hyuu toute petite qui brandissait pleine de peinture un dessin de ciel étoilé sur toile enfantin, très heureuse.

    Ah, et le ciel a toujours été ma plus grande passion. Les étoiles, l'espace. Je rêve un jour de pouvoir aller à la station, la haut, et observer d'encore plus prêt tout ça ! Mais ça, le temps me le dira.Ria t-elle.Voilà, une gamine normale dans une bonne famille, qui lui a donné les clés de vivre sans trop de difficulté !

    Ce qui se détacha des photos, toutefois, sans qu'elle le remarque : c'était l'absence d'amis à raconter, ou d'histoire de ce genre. Hyuuran n'avait probablement pas trop socialisé, et cela semblait être récent vu la manière dont la Professeur en parlait. Typique de la personne qui avait passé tout son temps à ses études, plutôt qu'à la fête... Peut-être pour ça que maintenant elle désirait si ardemment profiter de la vie ! Et d'en découvrir tout ce qu'elle avait raté plus jeune et adolescente ! Peut-être pour ça, que l'âge, ne la préoccupait pas du tout.

    À ton tour, Angel. Sucré ou salé ?Dit-elle, dans un immense sourire, bien heureuse de partager, frottant toujours le pied.

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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Invité Mer 30 Aoû - 9:23
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    Pendant que je dévore mon gâteau au chocolat – bien trop petit à mon goût, tu te confies à moi. Nous nous prêtons alors aux tendres confidences pour apprendre à mieux se connaitre. Tu avoues donc préférer le sucrée. Premier point de rupture ! Mais ce n’est pas bien grave. Surtout que le chocolat, c’est bien trop bon ! Même si j’ai une préférence pour le caramel. Notamment le caramel au beure salé, la dinguerie ultime ! Rien que d’y penser j’en salive. Plus encore que je t’imagine recouverte de caramel… mais ceci est une autre histoire !

    Tu me parles ensuite de tes origines et de ta double nationalité. Savant mélange de Japon et d’Inde. « Woooh ! Trop beau ! » m’exclamé-je quand tu me montres quelques paysages de ton tout petit village natal. Je plonge à nouveau mes yeux dans les tiens quand tu me fais une blague salace. Évidemment, je ne pouvais pas ne pas renchérir par-dessus : « Oui, tu te débouilles bien en langue ! » Je ponctue ma phrase d’un clin d’œil bien coquin. « Mais si tu veux apprendre l’espagnol et un peu de la culture Mexicaine, ça sera avec plaisir que je serai ton professeur particulier. Très particulier. » Grand sourire polisson. Mes yeux pétillent d’autant plus de malice quand tu me montres tes parents et notamment ta mère. « Elle est magnifique ! » Ca doit être votre super pouvoir à toutes les nymphes : être bien trop belle et attirante !

    J’ai même le droit à des photos de toi petite avec de la peinture. « Trop mignonne ! » Je ne peux que te comprendre quand tu dis adorer la beauté de l’univers. Il est toujours une vaste et inépuisable source d’inspiration pour l’art. Tout comme la nature. Je termine mon gâteau quand tu termines ta petite histoire personnelle. « Encore faim… » lancé-je avec une bouille faussement triste en regardant mon assiette vide. Pour ensuite te regarder avec appétit. « Team salé évidemment ! J’aime la viande ! » Je lance un clin d’œil coquin. Puis, je reprends un air plus sérieux. « J’adooooore les buritos ! J’aime tout ce qui est épicé au final ! Tu me diras, vaut mieux quand on est mexicain ! » C’est que manger des épices dès le petit déj n’est pas pour tout le monde !

    A mon tour, je sors mon téléphone pour te montrer le quartier des géants à Acapulco. Quartier qui ressemble à n’importe quel quartier de classe moyenne avec de jolies petites maisons. Si on ne sait pas de prime abord que tout est en taille XXL, l’illusion serait presque parfaite sur les photos. « Ca c’est notre maison. On vie dans le quartier qui regroupe toutes les races de grand calibre. On va dire ça comme ça ! » Je rigole un peu. Je slide les photos. « Moi qui joue aux petites voitures sur un parking en amont de la plage. Sauf que c’était des vraies ! Bon. Je me suis un peu fait engueuler ce jour-là ! Les voitures des humains sont pas des jouets, blablabla ! » Je rigole en continuant de faire tourner les photos. « Mes fidèles amies : Juana une petite lapine et Salma une orc. Là tu as mes parents : Maria et Marco. » Je termine par quelques photos de la plage.

    Je bois une gorgée du thé. Je te montre ensuite des dessins que j’ai fait sur tablette. La plupart sont des paysages du Mexique. « Je n’ai pas encore beaucoup représenté Kyoto, je n’ai pas eu le temps. Mais j’ai déjà l’idée de faire la forêt… avec toi, bien sûr ! Dans tes deux formes. » Ensuite, je te montre de nombreux portraits : mes amis, mes parents, mon idole. « Ca c’est Titan ! Un super héros trop cool ! J’espère pouvoir le rencontrer un jour. Je crois que j’aimerais bien être comme lui : mettre ma force au service des autres. » Puis-je seulement être à la fois artiste et justicier ? Je garde ses interrogations pour moi-même. Au final, je ne sais pas trop faire de ma vie, mais je ne te le dis pas vraiment. Je ne veux pas te rappeler que je n’ai jamais que dix-huit ans…

    « En tout cas, il me motive à faire encore plus de sport ! Même si ma race a des facilités pour être fort physiquement, je veux pas me reposer sur mes lauriers pour autant. » Je range ensuite mon téléphone. « Comme ça t’auras des bras toujours plus musclés à tâter ! » wink wink. Oui, je ne peux jamais garder mon sérieux bien longtemps ! Je termine ensuite mon thé. « Je t’invite ! » Je me lève et te tends la main. Après avoir réglé l’addition pour nous deux, nous sortons. Posant mon bras sur ton épaule pour te coller à moi, je marche tranquillement. « J’ai cru voir un panneau indiquant un parc par là. Tu veux aller y faire un tour ? »
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Jeu 31 Aoû - 23:48
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    Tu me dois un Kimono. 



    Notre douce Hyuuran regarde avec une lumière dans les yeux, le géant engouffrée son petit goûter. Cela semblait bien peu, quand il prenait le gâteau au chocolat dans son immense main. Rien qu'à la pensée, elle rougissait, mais souriant joyeusement tout en continuant ses partages et discours !

    Il répondait à ses attaques et blagues, la faisait rire de gêne et de fierté. Non, elle n'avait pas l'impression d'être en compagnie d'un gamin, mais de quelqu'un d'assez mature pour son âge, et vu qu'elle était de son côté quelque peu immature : ça marchait très bien et adoucissait son cœur qui en avait tant besoin ! De ce genre de moment adorable et tendre. Juste le fait de le voir s'extasier sur les photos, sur son histoire, faisait du baume au cœur de notre petite Dryade qui remuait un peu plus son pied de contentement.

    Enfin, vint le tour du géant de répondre, et elle n'en perd pas une miette. Salé, évidemment, vu la quantité qu'il doit avoir besoin pour s'entretenir, ce n'est pas très étonnant, mais c'est adorable la manière dont il le clame !

    On mange très épicé aussi en Inde, mais ce ne doit pas être la même chose. Tu me feras goûter un plat purement Mexicain de chez toi, et moi, un plat de chez moi !Proposa-t-elle alors.

    Il sortit son téléphone, naviguant dessus pour montrer à son tour des photos remplissant la jeune femme d'étoiles de joie ; et tenter d'imaginer le tour en XXL était encore plus amusant : surtout le coup des voitures qui lui arrache un bon rire sincère. Bah, ce n'était qu'un enfant, hors norme : mais une excellente anecdote !
    Elle découvre un peu plus de chez lui, de ses amies, de son enfance, de sa famille. C'est beau, admirable, c'est tellement différent de chez elle et d'ici ! Sa curiosité ne fait que grandir comme une graine en meilleur de sa santé.

    Puis vint quelques dessins, qui émerveillent totalement notre Dryade, qui pétille et fleuris littéralement en regardant le tout avec son œil d'artiste personnel. Ah, un peu envieuse d'un talent pareil, mais ne pouvant que souligner celui-ci avec de sublimes sourires et exclamations. Elle adore, admire, et en tombe presque amoureuse à chaque nouveau dessin !

    J'ai hâte de découvrir le futur croquis avec ma personne, sous ses deux formes !Avoua t-elle en tirant malicieusement la langue.

    Ensuite, il lui montre un super-héros. Elle regarde longuement, elle ne connaît pas, mais voir que le jeune géant veut devenir comme lui, elle trouve ça adorable et... Cela remplit plein d'espoir aussi. De savoir que beaucoup de gens veulent sauver les gens, les innocents et tout. Hyuuran rougit en souriant avec ce si beau sourire qu'est le sien. Puis elle tâte ses bras en semblant accepter ce qu'il dit, et bien vouloir en voir “plus” de ces futurs entraînements.

    Puis celui-ci osa l'inviter ! Elle protesta un instant, mais c'était trop tard ! Venait s'agripper à son bras, elle lui tirait une petite mou. C'est elle qui avait un salaire, elle devrait lui payer ce genre de chose, et c'était ce qu'elle aurait bien voulu faire : pour faire plaisir.
    Mais finalement, rougissant, la Nymphe le remercier, serrant un peu plus son bras dans sa poitrine et y collant sa tête. Semble-t-il qu'il soit le premier à l'invitée, au vu de sa réaction totalement inhibé du rouge de la gêne et incompréhension ?

    Ne te ruine pas pour moi... non plus, hein..

    Redressant le regard vers lui, cette fois, s'est-elle qui l'agrippa pour qu'il se penche, pour y déposer un tendre baiser, son remerciement, avant de sortir de là et d'accepter d'aller en direction du parc, les bras croisés dans son petit dos.
    Ses cheveux volaient au vent capricieux au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait alors dans le Parc, chantonnant avec une petite joie non dissimulé de cet après-midi fort agréable, laissant animaux venir danser avec elle, prenant plaisir de faire éclore quelques fleurs du bouts de ses doigts.

    La nature, restait sa meilleure amie la plus sûre. Toujours bien entouré, et entendu, c'était son palais, son terrain de jeu, et cela ressourcer toujours grandement de pouvoirs marché pied nu comme une insouciante au milieu des herbes, n'hésitant pas d'ailleurs à grimper en haut des arbres pour profiter des vues, et de l'air.

    Toi, tu peux profiter de ta vrai taille pour voir loin, moi, je dois monter comme un petit singe !Avoua t-elle en riant.

    C'est sûr que sa petite taille ne la faisait jamais voir loin, mais grimper semblant être une aisance pour la femme, enceinte pourtant de peu, qui semblait respirer et contempler la vie bien plus encore qu'avant. Vivante, et frémissante, elle n'avait pas peur, pour voir encore mieux, et faire coucou à Angel qui n'avait pas encore grandi, souriant grandement.

    Pour une fois, c'est moi qui te vois d'en haut. C'est une drôle de vision ! Et encore, j'suis pas aussi que tu dois l'être... Ça reste une vue étrange pour moiDit-elle en regardant.Tout semble encore si différent à cette hauteur. Je me semble encore plus invincible et capable de faire plein de choses !

    Elle riait, profitait, et admirait pleinement sans aucune gêne depuis son arbre le corps et l'apparence d'Angel, un sourire coquin aux lèvres.
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    Me ruiner, me ruiner… Ce n’est jamais qu’un goûter. Ce n’est pas comme si je t’offrais du Cartier ! De toutes façons, je ne t’ai pas laissé le choix, nah ! Cela étant dit, il est possible que j’ai oublié de te dire que j’avais un taff à plein temps en attendant la prochaine rentrée. Il faut dire que travailler chez Burger Queen, ce n’est jamais qu’un emploi de type alimentaire. Je n’en parle pas spécialement. Même s’il faut avouer que l’équipe avec laquelle je bosse est géniale. Un baiser et une claque sur ta croupe plus tard, nous filons donc dans le petit parc non loin.

    Nous sommes bien loin de la vaste étendue de la forêt verdoyante dans laquelle nous nous sommes rencontrés, mais pour un centre-ville, c’est toujours agréable. Je pouffe un peu de rire quand tu me dis que tu ne vois pas au loin avec ta taille. « Oh, tu sais… Je pense qu’ici, la seule chose que je verrai du haute de mes 7m c’est juste la route à l’autre bout du parc ! » lancé-je en pouffant de rire. « Peut-être pas plus mal que tu sois toute petite… mais qu’est-ce tu fais ? » C’est à peine si j’ai le temps de finir ma phrase que je te vois grimper à un arbre. Le pire, c’est que tu le fais avec une certaine facilité ! Alors là, je dois bien admettre que je m’y attendais pas !

    « Bravo, bravo ! Madame est très douée pour grimper ! » Sourire potache. Tu me fais également bien rire quand tu me dis que cette fois, c’est toi qui me regarde de haut. « T’as raison, faut changer ça ! » Sous tes beaux yeux, je tourne alors mon médaillon pour me grandir jusqu’à ta hauteur. Nul besoin de prendre ma forme véritable ici, elle serait plus encombrante qu’autre chose. Déjà que j’attire l’attention des quelques passants ! Je regarde alors aux alentours et comme je m’y attendais, nous pouvons voir la rue à l’autre bout du parc !

    Je reporte alors mon attention vers toi. Puis, je tends le bras pour te faire un patpat taquin sur la tête. « D’où te vient cette passion pour grimper aux arbres ? Voir les étoiles la nuit ? » C’est vrai que la nuit, ça doit être sympathique de se loger tout en haut d’un arbre pour admirer le Ciel. « Je n’ai jamais vraiment pu grimper dans un arbre. Peur qu’il cède sous mon poids ou de le déraciner par inadvertance. » Des préoccupations qui doivent te paraitre bien abstraites. « Ca me rappelle une fois, je devais avoir 13 ou 14 ans. J’arrivais pas encore à savoir doser ma force et ma masse. Un aprem j’ai voulu m’adosser contre un petit arbre pour dessiner… On est tombé tous les deux à la renverse ! Bon, j’ai fait aux mieux pour le replanter après ! »

    De mon index, je viens le poser contre ta joue pour te la caresser tendrement… « Même maintenant, pas toujours facile de mesurer ma force… T’en as eu un aperçu ! » Wink Wink.

    Finesse et élégance… Tout moi !
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Mar 5 Sep - 13:21
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    Tu me dois un Kimono. 



    La jeune femme rit devant les félicitations à ses galipettes pour grimper en haut de l'arbre. Elle le prend bien, son agilité est un petit talent dû à la dance probablement, mais il est bien vrai que c'est un plaisir curieux et peu mature pour son âge... Mais qu'importe : elle vit, c'est tout ce qui compte, non ?

    Alors qu'elle le taquine, le voilà qui tourne son médaillon, pour avoir une taille à hauteur de la jeune femme, la faisant rougir un peu, mais sourire : elle avait réussi indirectement en tirant la langue, à le fait grandir encore. D'une certaine manière. Elle appréciait cela. Même si elle se doutait que cela ne fût pas sa taille entière.
    Au fond, Hyuuran était curieuse de monter sur sa tête, un jour, en forêt ou dans un magnifique endroit quand il sera à sa taille normale, pour voir aussi loin que lui les paysages et autres ! Voir alors le ciel, en pleine nuit, avec autant d'espace et de hauteur, ça doit être... Merveilleux !

    Oui, j'avoue. J'aime beaucoup trop le ciel, et les étoiles.Admit la jeune femme.Fallait bien trouver un moyen de regarder, petite, quand je n'avais pas mes équipements !

    Restant les yeux dans les yeux avec son Géant, elle pouffa de rire à ce qu'il put raconter, heureusement qu'il avait remis l'arbre, mais elle le tapota sur le haut du crâne de sa mini-main avec un grand sourire. Il était trop adorable, lui aussi.
    Puis elle rougit après s'être fait papouiller la joue d'un bout de doigt. Gonflant ses joues, c'était bien vrai... Mais elle en sourit finalement, sans aucun regret palpable. S'approchant sans tomber, elle vint enlacer la main contre elle dans une étreinte douce, frottant sa tête à un de ses doigts.

    T'es vraiment adorable, même si terriblement coquin aussi.Dit-elle.Je passe vraiment un bon moment. Ça me fait beaucoup de bien de sortir, et de papoter. De faire autres choses que travailler.

    Relâchant son étreinte, à cette hauteur et loin des oreilles des autres, malgré leurs regards curieux, elle pouvait parler un peu de son fardeau de professeur... Et de son ancienne manière de vivre, quelque peu déplorable ? Cela dépend des points de vue. Mais c'était une manière de montrer sa confiance, et sa proximité avec Angel.

    Avant toi, je ne pensais pas vraiment à sortir, ou... faire autre chose, que bosser. Apprendre plus sur l'univers, les astres, et le transmettre à mes élèves. Un rat de bibliothèque... Pendant mes études, je ne voulais pas entendre parler d'amitié ou rien. Je n'en voulais pas, car... Je ne trouvais pas l'intérêt.

    La jeune femme fixe le grand Bonhomme.

    Mais, en manquant de disparaître, et en rencontrant des personnes clé, je me suis rendu compte que je m'étais trompé. Je peux assouvir ma passion, sans me priver de vivre, et de profiter. Il faut savoir joindre les deux, correctement. J'ai eu du mal... Mais... Tu as su m'apprendre. Toi, le petit jeune certes, tu savais mieux vivre que moi.Ria t-elle.Alors... merci. En fait, c'est un précieux cadeau que tu m'as fait... Plus que de me prendre simplement ma virginité.Dit-elle plus bas en tirant la langue.

    L'impact d'Angel dans sa vie n'était pas négligeable. Ni celui de deux/trois autres personnes. Mais actuellement, Angel était celui qui l'avait le plus chamboulé et provoquer sa “renaissance” bienfaisante et de bonheur. Et, c'était un remerciement tellement sincère, que même l'arbre sur lequel elle tenait, fleurissaient avec elle de mille couleurs de joies, aux rythmes du battement du cœur de notre Dryade qui n'était qu'heureuse à ce moment-là.
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    Hyuuran Kaarm
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    Alors que je te caresse tendrement les cheveux, tu te confies un peu plus à moi. Tu m’en avais déjà parlé, ou laissé entendre, mais tu confirmes que tu as peu de relation sociale. J’admets être un peu étonné. Je ne conçois pas ma vie sans mes amis et si je ne suis plus avec eux au Mexique, nous nous parlons régulièrement par messages. Parfois, nous faisons même des visios. Ce n’est pas les méthodes de communication qui manquent de nos jours ! Une vie sans amis… Non, impossible de l’imaginer ! Je suis d’autant plus surpris que pour moi, la fac est justement le lieu où on s’amuse le plus. Peut-être un peu trop. Je ne sais pas encore : je verrai bien à ma rentrée.

    Quoi qu’il en soit, je suis touché que tu te sentes suffisamment à l’aise pour me confier tout ça. « Savoir mieux vivre que toi… C’est un peu exagéré ! » lancé-je pour dédramatiser. « M’enfin, ça sert à rien de ressasser ou de regretter. Les choix de vie que tu as fait à l’époque correspondaient à tes attentes sur le moment. Si cela te convenait, après tout, pourquoi pas ? Je vais pas juger. Après, c’est aussi normal de changer si tu en as envie. Au final, tant que tu es heureuse, c’est tout ce qui compte ! » Je t’affiche un grand sourire et te gratifie d’un clin d’œil. Pendant que tu m’éblouies à colorer l’arbre de multiples fleurs. « C’est bien trop jolie ce que tu fais ! » m’exclamé-je.

    Finalement, je te prends pour te porter telle une princesse. « Allez, on reprend la balade. » Je te blottie contre moi. J’aime bien t’avoir tout contre mes pecs. Comment ça, je marque mon territoire ? Même pas vrai ! Toutefois, je te repose au sol quand nous arrivons vers la sortie du parc. D’un revers de médaillon, je reprends la taille que j’avais avant de me grandir. « Oh regarde, un marchant de glace à côté de la sortie. » Certes, je sais qu’on a mangé y’a pas longtemps, mais et alors ? Et puis, si je te gave de sucrerie, peut-être que tout va te retomber sur les hanches et le derrière. Je suis donc gagnant ! Alors que je te mène vers la queue, je regarde les parfums. Pratique d’être grand, les clients de devant ne m’empêchent pas de voir ce que le marchand propose. « Wah, t’as vu tous ces bons parfums ? » te demandé-je en sachant pertinemment que pour le moment, tu ne vois rien. Petit sourire taquin.

    Notre tour finit par arriver et tu peux alors contempler les saveurs. « Bonjour, deux grosses boules au caramel beurre salé pour moi. Dans un pot, s’il vous plait ! » Alors que je te laisse t’approcher pour faire ton choix, je regarde sur mon téléphone ce qu’il y a dans le coin. « Y’a un musuem d’histoire naturelle pas très loin, si ça te tente. » te proposé-je dans un sourire. Mon pot de glace finit par arriver dans ma main. Et je dois dire que cela donne bien envie, même si je me fais violence pour attendre que tu sois servi avant de commencer à le manger.
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    Re: Tu me dois un Kimono. [Feat Ángel Rivera]par Hyuuran Kaarm Sam 16 Sep - 11:23
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    Tu me dois un Kimono. 



    Au commentaire de notre Géant, Hyuuran sourit en rougissant. Il comprend, malgré son jeune âge, et cela mets du baume au cœur de notre Dryade... Qui ne sait pas encore réellement comment définir cette drôle de relation qu'elle établis avec Angel.

    Alors que celui-ci la compliment avant de la récupérer pour aller prendre une glace, celle-ci se retrouve à le fixer en se posant tout un tas de questions. Un peu inutile, mais qui la préoccupe aussi. Il lui fait un câlin, elle se colle contre son pecs en souriant avant qu'il ne la redépose au sol une fois vers la sortie du parc.

    Hyuuran le suit jusqu'au marchand, où elle montre qu'elle boude de ne pas pouvoir voir pendant qu'il s'en vante, avant de rire un peu. Finalement, elle se reperd un instant en le regardant commander. Qu'était réellement cette relation qu'il instaurait ? Entre une journée torride dans les bois, la mise en cloque, et une promenade pour un Kimono. Alors que la jeune femme récupéra sa glace italienne à la vanille, elle semblait un peu perdue.

    C'est un jeunot de 18 ans ; malgré tout, qui profite de sa jeunesse et de la vie.

    Qu'attendait-elle réellement de celui-ci, finalement ? Pourquoi avoir ces picotements et ces envies de rapprochements, et étant en même temps si peu certaines de tout ? Mangeant un morceau de glace, elle n'avait pas de réponse. La Nymphe n'avait connu que le cœur brisé d'un amour non-réciproque, et l'idée de n'être qu'un moment de plaisir passager lui tirailla un instant la tête.
    Mais soupirant et souriant, elle l'acceptait. Car il était jeune, et avait une vie à faire, de découvertes ! Sachant qu'elle ne comprenait pas ces agitations, elle n'allait pas quémander une relation sérieuse, c'était... c'était... Non, c'était plutôt honteux, gênant et elle ne savait pas faire ! Qu'il décide d'arrêter de la voir du jour au lendemain pour différence d'âge et, car il trouvera probablement mieux ailleurs... Ce serait naturel, vu la différence d'âge. Elle reste une vieille peau, malgré son mental.

    Même si en se disant cela, sa main effleura le bain de son ventre, se rappelant de toujours devoir prendre rendez-vous pour... Pour ça. Pour évacuer la vie. Petite grimace, ce n'était pas spécialement dans ses principes, mais... Ah, compliqué de tout expliquer, quand la personne concernée, donc elle, ne comprends même pas !
    Voyons un regard du géant, elle lui sourit pour le rassurer comme elle peut.

    La glace est vraiment bonne, elle fait du bien !Commenta-t-elle.Après la visite du musée, je pense devoir rentrer toutefois. J'ai encore du travail à finir pour mes futurs étudiants.

    Ouvrant un instant son agenda, on pouvait contempler le fait que la Professeur avait un emploi du temps terriblement chargé, même hors de périodes de cours : entre les démonstrations, les performances de danses indiennes, les ateliers, les prises de contact et des rendez-vous éparpillés pour diverses choses et raisons, des heures établies pour certaines activités telles que la recherche, afin de créer des heures, rares mais creuses. Être une adulte, n'était pas toujours de tout repos.
    Le seul regret, était de ne pas avoir réalisé plus tôt, en étant plus libre, de tout ce qu'elle aurait pu faire.

    Refermant, elle rassurée le jeune homme et repartit dans ses discussions, évitant de parler de ses mille et unes questions qui la turlpinait, de peur de le voir fuir comme la peste. Il faut l'avouer : elle l'appréciait bien plus qu'elle-même voulait le dire, finalement.

    Au musée, elle profita des arts, et des leçons plus techniques qu'offrait le savoir de l'artiste mexicain. Admirant, apprenant, la Nymphe était restée cloîtrée près de lui, profitant de son contact et de tout ce qu'il pouvait lui apprendre, faisait toujours briller un peu plus ses yeux de sa curiosité digne d'elle, et d'un émerveillement. C'était beau, étonnant, innovant !
    Le moment était tout aussi magique que le reste, oubliant encore une fois tous ces soucis et questions pour se concentrer sur le plaisir de la sortie à ses côtés en riant de ses blagues, rajoutant les siennes, et partageant des informations sur eux-mêmes simplement aux détours des conversations.

    Sortant du musée, notre Hyuuhyuu s'étira longuement. Il fallait rentrer, bien qu'elle aurait aimé, vraiment, passer plus de temps avec lui. L'inviter chez elle ? C'était sûrement de trop, et au vue de ses rougeurs, elle ne savait pas comment faire, de peur de s'imposer, ou l'imposer... Un des deux.

    Voilà voilà... Il va falloir que je rentre...Dit-elle en se grattant le cou, ne sachant où regarder.C'était une super après-midi, j'y ai pris beaucoup de plaisir à apprendre à te connaître et à faire tout ça ensemble.

    Elle lui attrapa le haut de son T-shirt pour se tirer assez haut et lui déposer un baiser avant de redescendre.

    Merci !

    Puis elle le relâcha, revenant à plat sur terre et frottant son bras dans un sourire encore d'embarras et des fleurs. Mais ainsi était-elle. Non, lui en demandait plus après une si belle sortie, ce serait sûrement de trop... Elle ne veut pas passer pour une quémandeuse d'attention : ou elle ne sait pas quoi. La timidité, quoi. Faisant signe, elle s'apprête donc à partir, à moins qu'on ne l'y arrête.
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