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  • 2850OsakaEn l'an 2550, arrive un phénomène cosmomagique. La collision de deux mondes, l'un que nous connaissions gangréné par la guerre, la pandémie et les crises économiques. L'autre, où la plus petite particule est imprégnée de magie et dont la vaste étendue de reliefs est habitée par des civilisations insoupçonnées. 300 ans, c'est le temps qu’il fallut pour que cette fusion aboutisse, le temps pour permettre à ces deux mondes de ne faire plus qu'un. À la découverte d'une planète comme une pièce et ses deux faces, que vous soyez un Humain utilisant les arcanes pour faciliter votre quotidien et atteindre vos ambitions, un Porteur de pouvoirs les exploitant pour vous et vos semblables, ou bien encore l’une des multiples Créatures usant de leurs particularités dans leurs quêtes personnelles, ce grand carrefour cosmopolite fantastique qu'est Osaka vous attends. Maintenant, c'est à votre plume de jouer.
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    That glimmer of hope you see... that's me !par Invité Dim 9 Juil - 12:24
    CiterÉditerSupprimerIP de l'auteur



    Àngel Rivera
    Si le bonheur existe, c'est une épreuve d'artiste





    Groupe:Créature
    Race:Géant
    Genre:Mâle
    Age:18 ans
    Nationnalité:Mexicaine
    Orientation sexuelle:Bi
    Métier:Étudiant en art / Employé chez Burger Queen
    Feat:OC - IA




    Personnalité:
    Àngel est...

    Pétillant – Sociable – Fougueux – Protecteur – Créatif – Sensible – Altruiste

    Mais aussi...

    Immature – Têtue – Espiègle – Frivole –  Gourmand – Naïf – Désordonné



    Histoire:


    Nouvelle Terre pour un nouveau départ


    - Du temps de ma jeunesse pour s’amuser, on affrontait un dragon !
    - Chut papa ! On va encore passer pour des sauvages !

    Marco haussa les épaules, se retenant de rire face à son fils qui crevait d’envie de faire bonne impression. Le paternel se souvenait de sa jeunesse. Il se remémorait surtout les histoires de Juan, son père. Un ancien monde, une guerre. Un temps où les ancêtres de son clan se battaient, se jetaient à corps perdus dans une guerre qu’ils ne comprenaient pas réellement. Ils avaient perdus leur plaine ensoleillée pour le sable fin et chaud des côtes mexicaines. Si l’horizon était magnifique, l’accueil offert par les humains – les « Courts-sur-pattes » comme les surnomment les géants – le fut beaucoup moins. Beaucoup d’humains furent vulgairement écrasés comme des insectes que l’on balaye. Nombre de géants tombèrent sous les assauts implacables de l’artillerie technologique humaine.

    La paix vint finalement, la reconstruction ensuite. Les ennemis d’hier étaient alliés et tous œuvrèrent pour reconstruire Acapulco. Les géants ne paraissaient plus si frustres aux yeux des humains quand de leurs bras puissants, ils rebâtissaient les maisons de leurs nouveaux amis miniatures. Aujourd’hui, les géants et toutes les races de grandes tailles ont leur propre quartier : El barrio gigantesco. Un quartier aux dimensions improbables en marge du centre de l’imposante ville mexicaine.

    Non. Marco ne regrettait pas l’ancien temps, il aimait simplement taquiner son fils.


    Le cri de la vie


    Il y a dix-huit naissait Àngel à Acapulco. Fils d’un couple de géants : Marco, un maçon et Maria, une couturière. Une naissance qui, si elle se termina bien, ne fut pas sans quelques péripéties. L’unique gynécologue qui acceptait de prendre des patientes hors normes à domicile était malade depuis une semaine quand l’énorme bambin fut mis au monde. Pas d’hôpital adapté proche de chez eux, pas de gynéco, pas de péridurale. Maria, d’ordinaire polie, montra toute l’étendue de son vocabulaire fleuri ! Àngel poussa son premier cri à 22h ce 13 juin. Le gynécologue reprit le travail le lendemain !

    Si dans les jours qui suivirent, Marco se demandait qui de Maria ou Àngel avait le plus fait trembler les murs en criant, la vie à trois s’installa doucement. Tendrement même. Il est loin le temps où l’on pensait les géants barbares. Marco et Maria redoublèrent d’attention et de cajolerie pour leur enfant. Il ne manqua de rien et s’il n’y avait pas assez de jouets à sa taille, Maria lui fabriquer elle-même ses peluches.

    Les années filèrent. Sans que Maria et Marco ne s’en aperçoivent vraiment. Bientôt sonna le temps d’entrer pour la première fois à l’école… « Non ! Àngel ! On repose la maitresse au sol ! C’est pas poli de soulever les gens sans leur consentement ! » Marco manqua d’éclater de rire quand Maria lui mit un coup dans les côtes. « Euh. Oui, c’est pas bien ! Maman a raison ! Je t’ai pas élevé comme ça. » Elle avait bien du courage et de la patience, Victoria, pour faire la classe à des enfants dans le quartier El barrio gigantesco. Surtout quand on est une petite sorcière !


    L’amitié en grand



    Ce jour-là, le petit géant était à la plage. Un des rares espaces d’Acapulco suffisamment étendu pour brasser toutes sortes de races différentes. Des plus petites aux plus grandes ! Pendant que Maria bouquinait un livre d’horreur sur sa tablette xxl, Àngel s’amusait à dessiner dans le sable avec son doigt. Il traçait des fleurs, des arbres, des animaux. Le trait était encore juvénile et maladroit, mais il était déjà annonciateur de sa future passion.

    Maria appela son fils pour manger à ses côtés le pique-nique qu’elle avait préparé le matin. Le petit brun se leva en hâte et, encore pataud et peu familier à la nécessité de faire attention à son environnement du fait de sa taille, écrasa une poupée sans le vouloir. Il l’aurait certainement pas même remarqué si des pleurs n’avait pas alerté son attention. Son regard alternait entre la poupée ses oreilles et la petite lapine non loin. Le rouge lui monta instantanément aux joues. « Oh non ! Je suis vraiment désolé… Je voulais pas… » La jeunette hybride semblait un peu plus jeune que lui. Peut-être 8 ans, quand il en avait 10. Il ramassa les morceaux et tenta de remboiter les membres, mais rien n’y faisait. Elle était cassée.

    Il n’eut pas le temps de formuler d’autres excuses qu’une jeune orc – sans doute âgée de 11 ans – vint à sa rencontre. « Bah bravo ! » Elle bondit sur la cuisse du brun pour ensuite lui mettre une claque. Elle n’était pas assez forte pour être vraiment douloureuse, mais suffisante pour le faire transpirer de honte. « C’est rien ma pauvre petite Vic’… » Elle alla cajoler la lapine ensuite. Elle ne pleurait plus, mais fusillait le grand du regard. Scène cocasse démontrant que la taille ne rimait pas forcément avec assurance. Maria s’excusa au près de la mère lapine qui n’en tenait pas rigueur au garçon : ce n’était qu’un accident.

    Une fois rentrés chez eux, Àngel ne voulut pas en rester là. Il souhaitait s’excuser et surtout se faire des amis et pas uniquement avec ceux de son gabarit. Il demanda à sa mère de l’aider à confectionner une peluche. Pour être précis, c’est Maria qui fit le plus gros du travail : le jeune n’y connaissait rien en couture. Elle le laissa toutefois s’occuper de coudre les yeux et quelques détails. Bientôt, le nounours fut prêt.

    Le lendemain, il retourna à la plage, l’ours en peluche sous le bras. Il eut peur de ne pas recroiser la jeune lapine, mais la chance lui sourit. Telle une offrande, il déposa la peluche devant elle. La gamine se jeta dedans – la peluche devait bien faire sa taille. « Bon. Okay. Je te pardonne grand idiot ! Je m’appelle Juana. – Moi, c’est Àngel. » Ils furent bientôt rejoint par l’orc. « Salma. Et je t’ai toujours à l’œil. »

    Chacun posa sa main dans celle de l’autre. Les trois ne soupçonnaient alors pas que c’était le début d’une longue amitié.


    Éclairer le monde


    Il était si fier Àngel. Il avait finit par convaincre ses parents de lui acheter du matériel et de demander à son ancienne maitresse Victoria de lui donner des cours de dessin. Regarder des tutos vidéos ne lui suffisaient plus. Le garçon se débrouillait déjà pas mal. Longtemps, il dessina sur les rochers qu’il trouvait le long de la mer. A défaut de feuilles ou de crayons, il gravait avec son doigt dans le roc. Technique rudimentaire, mais c’est ainsi qu’il a commencé. Ensuite, il prenait en photo et partageait ses œuvres sur les réseaux.

    Ses parents lui avaient offert une tablette pour ses quinze ans et il pouvait alors s’entrainer davantage. Il aimait faire des œuvres numériques, mais il regrettait de ne pas avoir de contact avec la matière de ses œuvres. Il aimait cette sensation de ses débuts, quand la roche s’effritait sous sa force. Il aimait capturer la beauté de la nature. Alors, quand il débuta ses cours particuliers avec Victoria – qui avait fait des études en art durant sa jeunesse, il était le plus heureux des géants. La quantité de peinture nécessaire pour peindre soigneusement étant chère lorsque les œuvres étaient à échelle de géant, il prenait les cours avec d’autant plus de sérieux.

    Doucement, mais surement, Victoria lui souffla l’idée de faire des études d’art plus tard. Peut-être même dans une autre ville ? Voire un autre pays ? Il n’y a rien de mieux pour un artiste que de s’ouvrir à des cultures différentes. Elle avait été à Osaka dans sa jeunesse. « Je ne sais pas si mes parents me laisseront aller si loin. Pour des études d’art en plus… Mon père m’imagine déjà un fier maçon comme lui ! Pour faire honneur à notre peuple… – Parce que devenir artiste, ce n’est pas faire honneur aux géants ? » La voix pourtant si douce de Victoria claqua comme un coup de tonnerre dans l’esprit d’Àngel.


    Un modèle


    Il y a deux ans environ. La triade de choc se reposait à l’abris d’un arbre. Pour être précis, Àngel était adossé à l’arbre. Quand Juana et Salma étaient sur chacune des cuisses du géant. Une tablette dans les mains, la lapine cherchait une vidéo pour passer le temps avec ses amis. Elle finit par tomber sur un combat entre un dragon et… un super héros ? Grand, beau et fort l’homme lutait vaillamment. La scène marqua Àngel. Premièrement parce que l’héroïsme de l’homme le touchait. Deuxièmement, parce que le géant trouvait cela particulièrement classe de voler.

    Rentrant à la maison avec ses petites amies – au sens littéral, il montra la vidéo à son paternel. « Regarde papa, comment c’est trop ouuuuuuf ! Je veux être comme lui ! – Affronter un dragon, oui c’est classe. Par contre… nous les géants ne faisons ni dans les rayons lasers ni dans les paillètes. C’est quoi ces trucs de fanfreluches ? Il n’y a que la seule valeur de nos bras qui doit nous rendre fier ! » A ces mots, Marco banda ses énormes biceps. Juana n’en perdit pas une miette ! « Roh, arrête de faire ton rabat joie ! » protesta le jeune géant.

    Àngel ne comprit pas que son père voulait dire, que l’important était de s’accepter comme on est plutôt que de se comparer aux autres. Pourtant, le garçon n’enviait pas vraiment les pouvoirs de l’homme. Sauf peut-être celui de voler. Non, ce qui le fascinait, c’était de voir un héros qui mettait sa force aux services des autres. Il se demandait si lui-même faisait grand-chose de cette force qu’il avait. Bien sûr, en cas de pépins, il protégeait ses amis, mais était-ce suffisant ?

    Surtout, était-il possible d’être à la fois un artiste et un héros ? Le jeune géant n’a à ce jour toujours pas la réponse à cette question. Justement parce qu’il est encore jeune. S’il avait toujours tenu à exercer son corps et sa force en s’entrainant dans la casse de la ville, avoir un super héros en modèle le motiva à le faire encore davantage.


    Anniversaire inoubliable



    - Du temps de ma jeunesse pour s’amuser, on affrontait un dragon !
    - Chut papa ! On va encore passer pour des sauvages !

    Pour ses 18 ans, Àngel voulait que tout soit parfait. Première partie le repas, la soirée avec ses amis sur la plage en seconde partie. Cela faisait maintenant des mois qu’il rabattait les oreilles de ses parents pour faire ses études d’art à Osaka. Victoria l’avait convaincu. Être un géant ne signifiait pas qu’il devait forcément utiliser sa taille pour devenir maçon comme son père. Ils pourraient même être complémentaires : une fois les bâtiments finis, il pourrait se servir des murs comme des toiles gigantesques !

    Pour tenter de convaincre une ultime fois ses parents, le jeune garçon avait même prévu une liste de 13 arguments sur une feuille qu’il pourrait toujours réciter au besoin. En haut de la liste, les économies qu’il avait fait ces dernières années en donnant des coups de main aux voisins ou bien en réalisant des commissions. Il avait également commencé à regarder pour se trouver un emploi sur place. Il était prêt. Osaka sinon rien, mais quand aborder le sujet ?

    Pendant le repas, il déballa le premier cadeau. Un t-shirt avec « titan » écrit en lettres capitales. « Merciii ! Mais je croyais que tu le trouvais ridicule ? » Clin d’œil de Marco. Sa mère prit ensuite la parole. « Le t-shirt, c’est pour rigoler. Voilà ton vrai cadeau. On te l’offre conjointement avec Victoria et son époux. » Intrigué, il ouvrit le petit paquet pour découvrir un pendentif circulaire disposant d’une aiguille en son centre. « Ce n’est pas juste un bijou. » commença le père. « Tu en auras certainement besoin à Osaka. – Merci… Quoi ? » Un moment de rire des adultes avant que Victoria n’explique : « C’est un artéfact magique. Osaka est une ville inclusive qui dispose de nombreuses infrastructures adaptées pour un peu toutes les races, mais ce n’est pas parfait non plus. Mets le collier, tourne l’aiguille dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et… magie ! »

    Àngel s’exécuta. « Ca chatouille… Oh c’est quoi ce bordel ?! » Salma et Juana éclatèrent de rire à l’autre bout de la table. Ses parents avaient tout prévu. Après moult réflexion les mois précédents, ils avaient fini par accepter. L’inscription à l’école d’art était déjà faite. Les billets déjà réservés. Victoria avait confectionné deux autres amulettes magiques pour qu’ils puissent aider Àngel à s’installer. La surprise était prévu de longue date.

    Dire que le brun était fou de joie serait encore un euphémisme ! « Vous avez intérêt à venir me voir à Osaka ! » Ses fidèles amies répondirent en cœur qu’il n’était pas prêt de se débarrasser d’elles !


    Un géant dans la ville


    Trois jours plus tard, la petite famille s’envolait pour Osaka. A force de recherches pour préparer la surprise, les parents d’Àngel lui avait trouvé un logement adapté à sa taille. En réalité, c’était un ancien hangar réaménagé. Il restait quelques menus travaux à faire, mais le prix attractif convainc Maria et Marco. Pour un maçon, mieux valait faire quelques aménagements soi-même que payer un bras de géant un logement adapté neuf ! A peine arrivés, les trois commencèrent donc par se relever les manches. Ne voulant pas que ses parents prennent en charge tout, Àngel trouva même un emploi chez Burger Queen.

    Le temps de la séparation vint finalement. Àngel devait voler de ses propres ailes. Un nouveau chapitre de sa vie débutait à peine et il était déjà curieux de tout. Il l’était d’autant plus que la rentrée scolaire ne débutait pas dans l’immédiat. Ce qui lui laissait le temps de découvrir Osaka, faire des rencontres, dessiner, s’amuser. Vivre en mot !

    « Tu crois que ça va aller pour lui ? » demanda Maria sur le chemin de l’aéroport. « Il fait plus de 7m. Qu’est-ce qui pourrait lui arriver ? – Vu comme ça ! »





    Pouvoir/don/Magie:

    Gigantomachie
    Les géants sont principalement connus pour leur taille prodigieuse. Encore tout jeune, Ángel n’atteint pas celle de son imposant paternel, mais il fait toutefois un honorable 7m13. Comme ses paires, tout son corps dispose également d’une force colossale et il peut soulever l’équivalant d’un char d’assaut. De nature robuste et endurante, son physique connait toutefois des limites comme n’importe quel organisme biologique – bien qu’elles soient proportionnelles à sa nature. Un coup de poing d’un humain sera une douce caresse sur sa joue. Ce qui ne sera pas le cas si le coup vient d’un autre géant ou toutes créatures de force à minima équivalente ! Sa peau peut également être percée avec des alliages particulièrement résistants. Si ses grandes jambes lui permettent de se déplacer assez rapidement. Il n’est toutefois pas un modèle d’agilité et de souplesse. Par ailleurs, il peut souffrir de maladie.

    La vie en grand
    Il n’y a pas que leur taille qui est imposante, les géants jouissent d’une espérance de vie plus longue que les humains. Celle des géants du Clan du brun avoisine quelques centaines d’années.

    Le retourneur de taille
    Cadeau de la part de ses parents et de leurs amis sorciers pour ses 18 ans, le « retourneur de taille » est un artéfact magique en or monté en pendentif sur une chaine du même métal. Il prend la forme d’un anneau avec une aiguille en son centre. Si cette dernière est remonté dans le sens anti-horaire, elle permet de rapetisser la taille d’Àngel. Pratique pour être plus discret dans la vie de tous les jours en ville ! L’artéfact l’aide également à contrôler sa force qui est quelque peu amoindrie quand il n'a pas sa taille véritable. Pour revenir à sa taille d’origine, il suffit au garçon de tourner l’aiguille dans le sens horaire. Il est par ailleurs à noter qu’il ne peut pas outrepasser sa taille réelle. Les vêtements et tout ce qu’il porte sur lui est également harmonisé. Si le collier est retiré du cou – soit volontairement soit par maladresse, le charme est rompu et Àngel reprend brusquement sa taille d’origine au détriment de ses vêtements. L’artéfact utilise le flux pur comme source d’énergie magique pour fonctionner. Il convient de le recharger régulièrement par un sorcier. En ville, le géant ramène sa taille à quelques deux mètres et demi. S’il peut théoriquement aller en dessous, l’énergie consommée serait plus grande et nécessiterait par conséquent des rechargements plus réguliers.



    Anecdotes:
    - Il a eu l’idée du nom du « retourneur de taille » après avoir regardé un énième remake d’une série sur un sorcier.
    - Les changements de proportion offerts par l’artéfact magique provoquent des chatouillis dans le corps.
    - Contrairement aux poussées de croissance qui peuvent parfois être pénibles, voire entrainer une certaine fatigue.
    - Comme tous les latinos, il aime le reggaeton.
    - Sauf qu’un géant qui danse sur du reggaeton, ça n’a pas la même élégance que les protagonistes dans les clips vidéos !
    - Quand il dit qu’il vous soulève, c’est au sens littéral.
    - Gamin, il aimait jouer aux petites voitures, mais avec des vraies !
    - Pacifiste, il vaut mieux toutefois ne pas toucher à un des cheveux de ses amis.
    - Une fois, il a accroché à un réverbère par la ceinture un lourdo qui emmerdait une amie.
    - Il a toujours des crayons et de quoi dessiner sur lui.
    - Son pseudo d’artiste est « El Pequeño » !
    - Il préfère le charme de la vraie peinture, mais le prix du matériel adapté à sa taille revenant très cher sur la durée, il utilise le plus souvent sa tablette xxl.
    - Quand il est à la dèche, il accepte de prendre des commissions nsfw pour arrondir ses fin de mois.
    - Il aime dessiner en pleine nature.
    - Il aime être en pleine nature tout simplement. Afin de se ressourcer et être pleinement lui-même.
    - Il s’est récemment essayé au graph de rue et projette de faire une œuvre sur un mur à l’image de son héros : Titan.
    - Il a d’ailleurs un porte clef à l’effigie de Titan sur son trousseau.
    - Il rêve de rencontrer son héro et d’avoir un autographe.
    - Il aimerait pouvoir voler, même si ses amis n’arrêtent pas de lui dire qu’il en a pas besoin avec sa taille !
    - Il aimerait avoir un teckel qu’il appellerait Longaniza (une saucisse sèche catalane dont il existe une variante mexicaine).
    - Il est recommandé de s'écarter quand un géant enrhumé éternue !  
    - Il ne met jamais sa taille sur les réseaux, on le croit pas.
    - Taquin et toujours prompte à rire de sa race, il aime bien dire qu'il mange des humains à chaque repas !
    - Il adore le lait !




    Moi aussi je rêve d'avoir un teckel pour l'appeler Saucisse ! Sinon, j'espère que mon petit vous plaira ! <3

     


    NC
    Signature
    InvitéInvité
    Anonymous
    CiterÉditerSupprimerIP de l'auteur
    Re-bienvenue a toi!

    Quel beau jeune homme que voila (Those muscles! NekoHD_038 )

    En espérant qu'ils se plaise parmi nous hehe
    Hâte de voir la fiche complète! Et de te croiser au détour d'un rp!
    Signature
    InvitéInvité
    Anonymous
    Re: That glimmer of hope you see... that's me !par Yume Akumu Lun 10 Juil - 0:49
    CiterÉditerSupprimerIP de l'auteur
    Bienvenue !

    J'espère que tu seras rapidement validé pour jouer avec nous ♥
    Signature
    Yume AkumuCréature
    Yume Akumu
    Messages : 32
    Age : 27
    Localisation : Dans les bas quartiers
    Emploi/loisirs : En recherche
    Re: That glimmer of hope you see... that's me !par Ambroise Di Turgenev Lun 10 Juil - 9:48
    CiterÉditerSupprimerIP de l'auteur
    Aah ses artistes et les teckels comment ça aucun rapport
    Bienvenue ici !!
    Signature
    Ambroise Di TurgenevCréature
    Ambroise Di Turgenev
    Image personnelle : That glimmer of hope you see... that's me ! 2gM0jOX
    Messages : 190
    Localisation : Avec un certain détective
    Emploi/loisirs : Duchesse
    Re: That glimmer of hope you see... that's me !par Fondateur tout puissant Mer 12 Juil - 21:00
    CiterÉditerSupprimerIP de l'auteur
    Félicitation Ángel Rivera
    te voilà validé !


    Quelle fiche incroyable ! Géant dans son écriture, fin dans les détails, immensément drôle dans les références comme dans toutes ses situations cocasse, on aime déjà ce merveilleux jeune homme qui rencontre la finesse du dessin dans une culture colossale, dans son sens le plus strict du terme. Un homme en cape rouge ne saisit pas encore l'ampleur de cette potentielle rencontre, ce jeune géant qui a tout à montrer à la vie, que ça soit entre ses bras puissants pour protéger les siens, ou entre ses phalanges habiles pour partager l'Art dans la plus noble des manières.

    Ángel Rivera est un personnage merveilleux, haut en couleur, pétillant, à qui on lui souhaite de concrétiser tous ses rêves.

    Note à moi même : taper un mon plus beau Burger, au Burger Queen. (J'en rigole encore, c'est terrible. Comme le chien saucisse.)

    Bref, un grand - aussi grand que lui - bienvenu !

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    Fondateur tout puissantAdmin
    Fondateur tout puissant
    Messages : 87
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