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  • 2850OsakaEn l'an 2550, arrive un phénomène cosmomagique. La collision de deux mondes, l'un que nous connaissions gangréné par la guerre, la pandémie et les crises économiques. L'autre, où la plus petite particule est imprégnée de magie et dont la vaste étendue de reliefs est habitée par des civilisations insoupçonnées. 300 ans, c'est le temps qu’il fallut pour que cette fusion aboutisse, le temps pour permettre à ces deux mondes de ne faire plus qu'un. À la découverte d'une planète comme une pièce et ses deux faces, que vous soyez un Humain utilisant les arcanes pour faciliter votre quotidien et atteindre vos ambitions, un Porteur de pouvoirs les exploitant pour vous et vos semblables, ou bien encore l’une des multiples Créatures usant de leurs particularités dans leurs quêtes personnelles, ce grand carrefour cosmopolite fantastique qu'est Osaka vous attends. Maintenant, c'est à votre plume de jouer.
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    Help your neighbor, and kindness will be returned to you!

    Aujourd’hui était mon jour de repos, donc j’ai décidé d’aller faire un tour dans les autres quartiers et également faire quelques courses sinon, j’aurais rapidement plus rien dans mon frigo et étant donné que j’ai tout le temps faim et en plus de ça… J’AI PLUS DE FRAISE ! Et ça je ne peux pas l’accepter, car pour moi les fraises, c’est toute ma vie. Alors je pris une petite douche assez rapide, puis fouilla dans mon armoire pour trouver de quoi me mettre. Ce fut simple, une petite jupe noir qui m’arrivait au dessus des genoux, un haut blanc qui j’enfile dans la jupe et pour les chaussures, je suis partie sur une petite paire d’escarpin noir.

    J’étais enfin prête à partir, je pris donc mes clés, mon sac à main et surtout mes sacs de courses. Sortant tranquillement de chez moi, je descendis les escaliers et me voilà enfin sortie dans le rue. Saluant d’un signe de la tête les passant, je me dirigea vers l’aéronef pour pouvoir me déplacer au centre commercial le plus proche de la ville. Quelques minutes plus tard j’y été enfin arrivé et il y avait un monde fou, fallait réussir à se frayer un chemin pour aller d’un point à un autre point.

    Alors que je me promenais tranquillement après avoir réussi à me frayer un chemin parmi tout ce beau monde, j’apperçu une personne qui sembler être perdu, c’est donc tout naturellement que j’ai commencer à me rapprocher de cette dite personne jusqu’à remarqué, qu’elle ne semblait pas perdu mais plus angoisser. Il fallait donc que je l’aborde avec douceur pour ne pas lui faire peur et qu’elle prenne la fuite, j’avais même pas encore fait mes courses. Une fois que arriver devant la personne qui était une femme, j’aborde un grand sourire sur le visage et pris la parole.

    « Bonjour, tu semble perdu, est ce que ça va ? »

    Je n’allais pas directement lui faire peur en lui disant qu’elle était angoissé, non. J’allais doucement la mettre en confiance et une fois que cela sera fait je pourrais lui demander pourquoi elle semblait angoisser et pourquoi pas l’invité à boire un verre pour qu’elle puisse se détendre. Mais avant ça, vaudrait mieux que je me présente, ça fera un petit plus dans l’objectif « Mettre en confiance »

    « Je m’appelle Nyliss Elrinysh et toi ? »

    J’avais toujours sur mon visage, mon sourire, un sourire doux et rempli de tendresse. Je me suis ensuite poser contre le mur posant par la même occasion mes affaires entre mes jambes. Il fallait que je trouve un truc à faire avec cette personne, car j’avais l’impression qu’elle cherchait à fuir du regard toute les personnes qui était là.

    « Je n’ai pas fini mes courses, tu veux venir avec moi ? Je t’offre un verre si tu veux »

    ft. Yume
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    Je suis esseulée. Je n’ai plus rien à faire dans ces quartiers riches qui ne veulent plus de moi. Je dois quitter et revoir mes standards à la baisse. Je décide de prendre les transports en commun pour payer moins cher et me dirige vers les quartiers populaires. Surtout que depuis quelque temps, je me sens observée et je sais que l’on ne le fait pas pour prendre de mes nouvelles.
    Je suspecte même que ce soit la personne responsable de la malédiction qui me ronge petit à petit. J’arrive dans ce qui ressemble à un centre commercial et cette sensation désagréable de ne pas être seule avec moi-même se fait encore plus flagrante. Il n’est pas loin et la seule chose qui me rassure à peu près, c’est qu’il y a trop de monde pour le voir intervenir.
    Puis une voix me glace le sang. Je me retourne rapidement et regarde la personne qui s’est exprimée et se trouve non loin de moi. Elle ne semble pas hostile et se présente même à moi. Je me demande ce qu’elle me veut et ne comprends pas. Je ne suis pas habituée par tant de bienveillance et je me dis que cela couve quelque chose, les riches sont hautains et passent souvent leur route sans se retourner sur la misère de la personne, en échange d’un billet.

    Puis elle se présente à moi et m’offre son nom et prénom. Je préfère rester méfiante, mais lui fais mon magnifique sourire de façade et commence mon doux mensonge pour préserver mon intégrité et peut-être ma survie.

    - Je m’appelle Miyo. Miyo Akama, je suis enchantée de faire votre connaissance.


    Je suis perturbée par son tutoiement sans même nous connaître et préfère donc instaurer directement une barrière, une limite entre nous, même si elle ne semble pas méchante pour un sou, les apparences sont parfois trompeuses. Je ferme les yeux et exhale quelque peu rassurée par la présence de cette étrangère. Je me permets de fermer les yeux un laps de temps pour détendre quelque peu mon corps endolori par l’anxiété et me redresse avec douceur et offre un doux sourire.

    - Si vous voulez, je peux vous aider, je me sentirais mal de vous laisser m’offrir un verre sans rien en échange.


    Surtout qu’en premier lieu, je vous ai menti pour ma propre sécurité, donc je ne me sens pas digne de cette boisson qui m’est si gentiment proposée.
    Mais ça… Pour ton bien et le mien, il ne vaut mieux pas que tu le saches, quitte à découvrir plus tard peut-être de la part de mon ravisseur que je t’ai menti sur toute la ligne et que tu ne sais finalement rien de moi.

    @elfyqchan - Never Utopia
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    ft. Yume AkumuHelp your neighbor, and kindness will be returned to you!Poser contre le mur, la jeune fille avait finalement prit la parole pour se présenter à son tour. Pour le moment, tu n’avais pas vraiment envie de lui poser des questions, tu voulais simplement pas la laisser toute seule en plein milieu du bâtiment. Elle avait une voix douce, mais quelque chose te gêner, sans pour autant savoir quel était cette sensation, voir même une intuition, concernant cette Miyo Akama.

    « Oh ne t’inquiète pas, je peux porter mes affaires que j’ai sous la main. Mais je tiens à t’offrir ce verre, le bar n’est pas très loin donc on pourrais y passer devant. »

    Tu savais bien que tu devais faire les courses, mais au final, tu le feras plus tard, voir même demain. Pour le moment tu allais te poser dans un bar, boire un verre...d’eau… Non ! Alcoool ! C’est la vie pour toi, mais serais-ce raisonnable de boire directement comme ça, devant Miya ? Aller ! Raisonnable on a dit.

    Après quelque minutes de marche silencieuse, il serait quand même un peu le temps de discuter et de savoir qui est cette jeune femme qui semblait être perdu en plein milieu du centre commercial. Le bar n’était pas très loin des magasins où tu devais impérativement aller. Tu fis donc signe à la jeune fille de te suivre dans la bâtiment, saluant d’un signe de tête toute les personnes qui passaient à coté de toi et que tu connaissais par la même occasion.

    « On s’assoie ici ? »

    Tu lui montra une table assez éloigner de tout le monde, donc bien au fond de la salle. Tu n’avais pas vraiment envie que des gens vienne te déranger surtout que tu étais avec une jeune fille qui semblait pas très à l’aise avec la foule. Le serveur s’approcha alors de vous pour prendre votre commande, tu déposa donc ton regard sur Miya pour savoir ce qu’elle voulait, mais en attendant tu commanda pour toi.

    « Alors je vais vous prendre...Un diabolo Fraise ! »

    Woaw, Qui êtes vous ? Qu’avez vous fait de Nyliss ? Tu avais réussi à prendre une boissons...Sans alcool, c’est la première et dernière fois que tu allais faire ça, car vu le temps que tu avais marqué avant de commander ta boisson, signifiait bien que tu avais choisi le diabolo à contre coeur. Une fois les commandes prise, tu jetas un rapide coup d’oeil à ton téléphone pour voir si ta sœur t’avait envoyer un message ou non… Mais rien, pas un seul message de Tyana.

    « Alors dit moi Miya, que fais tu dans la vie ? »

    Faut bien commencer la conversation quelque part et c’est bien de parler du travail. Tu avais posé tes mains croiser entre eux sur la table, ton regard posé sur la femme en face de toi. Sur ton visage, un sourire doux et agréable, tu ne lui voulais aucun mal, simplement apprendre à la connaître et surtout savoir pourquoi elle était seule en plein milieu du centre commercial.



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    Les gouttes du temps s’écoulent, mais aucune ne se fige. La course est rapide et bien que l’on se bat pour ralentir cette dernière, on ne peut rien y faire, tout comme le mal qui ronge mes entrailles. Celui de la malédiction et du poids de la trahison.
    Ma famille refuse de m’aider et pire encore, je paries facilement qu’elle est la responsable des nombreux refus pour mon travail.
    Je me suis toujours courbée pour ne pas les déranger, j’ai toujours travaillé avec acharnement et finis avec les honneurs. Ma sœur à côté était un déchet, mais elle était l’aimée et moi la recluse pour la simple et bonne réponse que je ne suis pas née avec le bon sang.

    Foutaises.

    Mes parents sont restés coincé au siècle dernier et je me retrouve là, pantoise, apeurée, à mentir à une inconnue sans sourciller pour espérer survivre encore un peu… Juste un petit peu.
    Elle veut m’inviter un verre et j’aimerai décliner, mais cela semblerait suspicieux… Quoi que sa demande l’est en premier lieu, mais au moins, je ne serais pas seule pour le moment et j’ai besoin d’en savoir un peu plus sur cet endroit, moi qui suis issue de la richesse.
    Il me faut revoir mes standards à la baisse.

    C’est donc pour cette unique raison que je te suis sans dire mot, tout en mémorisant notre route au cas-où, l’issue de secours que tu représentes sois aussi un piège. On entre dans une endroit plutôt tranquille et tu me présentes une table vissée dans l’ombre.
    Le cauchemar que je suis s’y sens de suite à l’aise et soupire d’aise. J’ai envie de me nourrir de tous ces gens, mais il serait bien impoli et pourtant… Je meurs de faim… Et je ne parles pas d’un apéritif banal.
    Tu prends une boisson soft et je te suis sur ta décision en regardant tout autour de nous, jusqu’à ce que tu commences à t’exprimer. Mes sourcils se froncent à l’évocation de mon faux nom écorché. Erreur d’inattention ou piège ? En tout cas si c’est la seconde catégorie, je ne me ferais pas avoir.

    - C’est Miyo… Et je suis au chômage pour le moment. Et vous Nyliss ? Que faites-vous dans la vie ?


    Je fais en sortes de corriger à ma façon son tutoiement. J’avais remarqué que c’était coutume dans les quartiers plus « bas », mais je n’étais pas habituée et je préférais maintenir une certaine distance avec les inconnus.
    Je replace une mèche derrière mes cheveux et croise avec élégance mes jambes, tout en te fixant. On dit que tout dans le jeu de poker se joue dans le regard… Si mon mensonge doit devenir un jeu, je serais celle qui te déstabiliserai pour rester en sécurité…
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    ft. Yume AkumuHelp your neighbor, and kindness will be returned to you !Alors que vous étiez assise tout les deux à la table la plus éloigner du bar, elle te repris sur le fait que tu avais écorché son nom. Tu es vraiment débile, maintenant va falloir que tu t’excuse pour cette faute grave. Elle t’annonça qu’elle était au chômage, et te demanda ce que tu faisais dans le vie.

    « Alors, d’abord, je tiens à m’excuser pour avoir écorcher ton prénom Miyo, je peux être débile parfois, mais je ferais bien plus attention à l’avenir. Moi je suis gérante et masseuse au salon de Massage Sweet Lust avec ma sœur jumelle Tyana. Mais pourquoi une belle femme comme toi est au chômage ? »

    Tu pouvais apercevoir qu’elle n’était vraiment pas à l’aise en ta compagnie, il va donc falloir que tu redouble d’effort pour qu’elle se sente mieux, sinon tu risque de la faire fuir et vu que vous étiez dans un bar, voir une personne fuir une autre, peut-être porter à confusion. Alors que tu allais reprendre la conversation, le serveur arriva avec les boissons, le fait de voir que tu avais commander une boisson sans alcool t’arracha un haut de cœur, mais tu essayas de ne pas trop le montrer.

    « Traquons et franchement Miyo, tu veux pas plus tôt me tutoyer ? Ça me rend vielle d’un coup haha... »

    Un petit rire doux et c’est vrai, ça te rendait vielle quand quelqu’un te tutoyer. C’est pour ça que tu aimais tutoyer dès que tu rencontrais quelqu’un comme ça, ça lui donne envie de faire la même chose et au moins toi tu es tranquille à ce niveau. Bon maintenant va falloir que tu trouve quelque chose à dire, parce que si vous continuez à vous regarder dans le blanc des yeux, la pauvre elle va finir par prendre peur. Prenant une grand aspiration, sentant bien que tu n’avais pas à faire à une humaine en face de toi. Et bah tien voilà ton sujet de conversation, savoir de quel race elle était.

    « Dit Miyo, excuse moi de te poser cette question, mais tu n’es pas une humaine n’est ce pas ? »

    Tu n’étais pas sûr qu’elle te réponde, mais au moins tu lui a poser la question et tu n’as pas directement sauté sur le fait de savoir de quoi elle était. Peut-être que pour lui donner envie de te répondre, tu devrais lui dire de quel race tu étais.

    « Moi, je suis une hybride, mi elfe, mi succube… Bon tu as du le remarqué avec mes cornes et mes oreilles d’elfe haha. »

    Une gorge de ton diabolo et les yeux qui tourna un peu autour de toi, plusieurs personne étaient en train de vous regarder. Mais un regard perçant et hop ils détournent le regard sans soucis et vous voilà à nouveau tranquille. Et effectivement, tu n’aimais vraiment pas les boissons sans alcool, mais tu te devais de survire à ce passage là pour ne pas être complètement bourrée devant une futur amie.



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    Nous nous installons tranquillement autour d’une table. Je te corrige sur mon prénom et en voyant ton malaise se dessiner et tes excuses, je me rassure à voir que tu ne m’as en effet pas testé et qu’il s’agissait là d’une simple maladresse. Alors que tu t’exprimes, tu demandes la raison de mon chômage et je réfléchis donc à vive allure avant de trouver la solutions parfaite.

    - Je viens de terminer mes études. Ces dernières étant très complexes et ciblées, je n’ai pas trouvé d’entreprises voulant bien de moi. Ils demandent des gens avec de l’expérience, mais vu qu’aucune entreprise ne veut prendre de risque, je ne peux pas me faire cette expérience… C’est le fameux serpent qui se mord la queue.


    Les boissons arrivent et je trinque avec ma nouvelle partenaire. J’incline la tête en guise d’acceptation de sa demande et l’observe longuement. C’est une belle femme, moi qui pensais que seul la noblesse pouvait être jolie, je comprends à ce moment mon ignorance sur le monde extérieur. Contrairement à ce que l’on a voulu me faire croire, ce n’est pas l’argent qui fait la beauté d’une personne. Alors que je porte mes lèvres à mon récipient, tes propos me stoppent un instant. Je ne peux mentir sur tout et je préfère donc jouer la carte de la fierté d’être ce que je suis… Après tout, personne ne pensera que je suis heureuse de ma tare dans ma famille.

    - Je suis un petit cauchemar et toi alors ?


    Tu réponds ensuite encaissant l’information. Tu ne sembles pas du tout déranger par ce que tu avances et c’est là que je remarque le faussée qui se creuse entre nous et nos antécédents. Je suis une honte et toi tu en parles comme si je venais de te demander la météo du jour. Je reste songeuse, me détendant au fur et à mesure que la conversation avance. J’incline ma tête avec délicatesse, prends une gorgée et t’observe longuement.

    - Je trouve ton hybridation très harmonieuse, sois en fière.


    Bien que je m’adresse à toi, il se pourrait qu’une part de mes propos m’étaient aussi destiné… Il est temps d’arrêter de m’en vouloir d’être née pour ce que je suis. Je reste une personne des plus respectable, bien que que ces vampires qui forment ma famille…

    .
    @elfyqchan - Never Utopia
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    ft. Yume AkumuHelp your neighbor, and kindness will be returned to you !Alors que la conversation se déroule, elle te parla du pourquoi elle était au chômage, tu trouvais ça dégueulasse ne pas accepter quelqu’un qui n’a pas d’expérience, mais justement c’est en travaillant qu’on prends de l’expérience. Tu soupira doucement sans trop pour ne pas l’alarmer. Puis vient la question sur la race, elle t’annonça qu’elle était un cauchemar, tu en avais jamais rencontrer et même dans ton salon . Tout ce que tu savais d’eux, tu l’avais lu dans les livres avec ta sœur.

    « Oh, Cauchemar, j’aimerais tellement en apprendre plus sur ta race, tout ce que j’ai connu, je l’ai lu dans les livres alors en rencontrer un, c’est génial ! Mais pour en revenir à ton travail, je trouve cela débile de te refuser un poste par manque d’expérience, car c’est justement en travaillant que tu en prends. »

    Tu avais comme des étoiles dans les yeux, mais la réponse de la jeune femme sur ton hybridation te perturba un peu. Pourquoi dire ça, alors que c’est tout à fait normal d’être fière de son hybridation comme la tienne, même si oui être une succube peut avoir ses inconvenant par moment.

    « Bien sur que je suis fière de mon hybridation, et toi tu devrais être fière de ta race aussi, les cauchemar sont très utile d’après ce que j’ai pu lire, il peuvent même sauvé des vies. Utiliser quelqu’un qui est de la race des cauchemar pour résoudre une affaires par exemple, c’est le pied. »

    Tu parlais de sa race, comme un enfant qui est sur le point d’ouvrir ses cadeaux de noël. Mais quelque chose t’attira, la couleur de sa peau. Elle était vachement blanche, aussi blanche que la peau d’un vampire.

    « Dit moi Miyo, as-tu eu l’occasion de faire des séance d’UV ? Car tu as la peau fachement blanche, on pourrait te prendre pour un vampire. Mais tu ne reste pas moins très belle quand même. »

    Tu finis rapidement ton diabolo, avant de faire signe à un serveur qui passa par là, pour commander une autre boissons, ton regard se posa à nouveau sur la jeune femme.

    « Tu souhaite boire quelque chose d’autre ? »



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    J’écoute la demoiselle si énergique et pleine de vie. Je ne suis pas réellement habituée à pareil sollicitation, mais j’en fais abstraction, je me dis que c’est normal ici d’être tant extraverti. Pour autant, je me conforte dans ma réserve et m’autorise quelques fois des hochements de têtes et des légers sourires pour confirmer que je suis bien en train de suivre la conversation. Je me redresse sur mon fauteuil et observe ma boisson.

    - … Nous n’avons rien de particulier, je peux répondre à tes questions si ton envie se trouve dans l’éclaircissement de ta curiosité, mais je pense que tu as déjà tout lu sur nous… Quant au travail, c’est comme cela que ça fonctionne pour la plupart des entreprises et des filières très sélectives, ne cherchant que le meilleur… Et je n’étais pas la crème de la crème à leurs yeux.


    Faux.
    Tu as finis majeur de promo, mais cela te fait trop de mal d’admettre que l’on te refuse l’accès à cause de pot de vin, de la réputation de ta famille et de ce que tu es…

    Ce que je suis ? Un être de l’ombre, démoniaque, détesté et qui se complaît dans les terreurs nocturnes d’autrui. Je t’observe et écoute à quel point tu nous idéalises, nous les cauchemars et je me permets donc de te corriger sur un point.

    - Il nous est bien plus facile de prendre des vies que d’en sauver… Enfermer des gens dans un cauchemar éternel et le voir se complaire dans la folie, sans jamais pouvoir s’échapper de cette cage horrifique qu’on lui a créé… Voilà ce qu’il en est réellement. C’est donc bien plus utile pour tuer, plutôt que d’épargner… Mais l’on peut aussi faire l’effort d’accompagner quelqu’un aux portes de la mort dans un beau rêve créé de toute pièce.


    Certes nous avons d’autres utilités, mais je préfère m’arrêter sur cela pour le moment. Je ne fais que peu l’étalage de mes compétences.
    Tu reprends ensuite et je t’écoute d’une oreille distraite avant d’ouïr le V word pour moi. Je frissonne mais reprends directement mon masque et le refixe correctement. C’est donc avec un doux sourire que je rétorque.

    - Pour commencer, je n’ai pas les moyens de me payer des séances d’UV… Ensuite, tu auras beau m’en faire, que tu ne verras pas la différence. Je suis issue d’une famille de Vampire, je suis une vampire, née de parents vampires… Le cauchemar était mon grand-père, cela a sauté une génération.


    Tu cherches ensuite à commander de nouveau et je décline. Nous avons parlé de payer un verre, pas plus et je ne peux dépenser sans compter. Chaque centime est calculé et si ce n’est pour de la nécessité ou de la survie, je ne touche pas à mon argent.

    @elfyqchan - Never Utopia
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